Cadeauxet produits officiels sur le thĂšme Combien De Temps Une Tortue Des Champs De Cheval Peut Elle Rester Sans Nourriture DĂ©couvrez des t-shirts, posters, stickers, objets dĂ©co et autres produits du quotidien, personnalisĂ©s par des artistes indĂ©pendants du monde entier. Toutes les commandes sont prĂ©parĂ©es Ă  la demande et gĂ©nĂ©ralement expĂ©diĂ©es sous 24 heures dans le DĂ©solĂ©de faire les rabats-joie mais c est prĂ©cisĂ©ment parce que j aime la Tortue plus que tout que je lance ce post. La Tortue, c est quoi Unetortue aquatique peut vivre 30 Ă  50 ans (on peut connaĂźtre l’ñge approximatif de la tortue en comptant le nombre de stries sur les Ă©cailles vertĂ©brales de la carapace). Comment dĂ©terminer l’ñge d’une tortue de Floride? C’est trĂšs simple ! Etest ce qu il faut les laisser tout le temps dehor ou la nuit ou quand il pleu il faut les rentrer ? Merci d avance :) Hugo 77 # Le 02/07/2013 Ă  01h05 J ai aussi une autre question : je suis pas la de la journĂ©e et j ai peur que les tortue se retourne donc si elle se retourne combien de temps peut rester une tortue sur le dos ?? Merci: AGAPANTHE13 # Le 10/07/2013 Ă  17h22 Toutle temps et de chaleur j ai une lampe pour la tortue de 2 mois et demi dans un jardin de mes parents. De la mais il y a beaucoup de temps et Ă  besoin de sa carapace est hors de terre et soulever sa tĂȘte et. Elle se cache sous le foin et dortelle ne fait pas assez chaud mes tortues ont quel Ăąge ont tes tortues en. Mais je ne sais pas Sonsang est Ă  la tempĂ©rature de l’environnement. Son optimum de tempĂ©rature est 28°C Ă  30°C. À 30°C, la tortue grandit vite, consomme beaucoup, Si la tempĂ©rature chute entre 10 et 15°C, la tortue va vivre au ralenti. Et si la tempĂ©rature passe en dessous de 10°C elle va hiberner. Vous et moi, nous possĂ©dons un squelette Lestortues de compagnie sont des animaux de compagnie populaires pour de nombreuses personnes car elles sont calmes, mignonnes (surtout en tant que nouveau-nĂ©s) et ne perdent pas de fourrure. Mais les tortues peuvent vivre trĂšs RajoutezĂ  cela une position oĂč le soleil et les prĂ©dateurs ne lui rendront pas la vie facile, pas Ă©tonnant au cumul de rĂ©pondre Ă  la question par une fin tragique MalgrĂ© tout sachez qu'une tortue d'hermann, par exemple, peut rester environ 2 Ă  3h sur le dos avant de rendre son dernier souffle (tout dĂ©pend du contexte et de la tortue en fait). Cest l'une des plus Ă©tranges idĂ©es fausses concernant la vie au Moyen-Âge. La VIE de ces gens dĂ©pendait de leur agilitĂ© et de leur capacitĂ© Ă  survivre au combat. Pourquoi auraient-ils eu des Ă©pĂ©es de 10 kg et portĂ© des armures si lourdes que s'ils tombaient de cheval ils se seraient trouvĂ© aussi handicapĂ© qu'une tortue sur le dos ? Parnature, les tortues Ă  oreilles rouges sont des animaux d'eau douce qui passent la majeure partie de leur vie dans l'eau. En milieu aquatique, cet animal nage, se nourrit, comble tous les besoins naturels nĂ©cessaires et dort mĂȘme. Mais combien de temps une tortue Ă  oreilles rouges peut-elle vivre sans eau ? Noter! Les jeunes individus kYZNEcO. Combien de temps un python royal peut-il rester sans manger ? Les serpents, ou plus prĂ©cisĂ©ment les pythons bals, peuvent se passer de nourriture pendant environ six mois. Ils peuvent abaisser le taux de leur mĂ©tabolisme, ce qui leur permet de survivre pendant une pĂ©riode prolongĂ©e sans consommer de nourriture, car leur corps utilise l’énergie stockĂ©e et ils conservent Ă©galement de l’énergie. Maintenant que vous avez la rĂ©ponse Ă  cette question, vous vous demandez peut-ĂȘtre pourquoi les serpents ont la capacitĂ© de ralentir leur mĂ©tabolisme. J’ai quelques idĂ©es Ă  partager. Pourquoi baisser le mĂ©tabolisme ? Les serpents ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s au fil des ans et une tendance intĂ©ressante est qu’ils ont la capacitĂ© de rĂ©duire leur taux mĂ©tabolique jusqu’à environ 70 %. Cela leur permet de rester en vie plus longtemps sans nourriture. Les pythons bals ont une demande Ă©nergĂ©tique trĂšs faible, quelle que soit la pĂ©riode de l’annĂ©e ou le lieu. Le python royal n’utilise pas beaucoup de protĂ©ines lorsqu’il ne mange pas. Ils savent comment rĂ©guler leur Ă©nergie. Mais malgrĂ© tout, vous devez les nourrir, surtout les bĂ©bĂ©s qui sont encore en pleine croissance. Nourrissez-les environ tous les 10 Ă  14 jours. Les pythons bals peuvent aussi se passer d’eau pendant environ douze jours sans avoir de problĂšmes de santĂ©. En Ă©tudiant cela, je me suis demandĂ© pourquoi ont-ils besoin de faire cela et dans quelle circonstance ? ». La plupart des animaux doivent prĂ©server leur Ă©nergie Ă  un moment ou Ă  un autre de leur vie. Avec les serpents, dans certaines rĂ©gions, la nourriture est rare. Elle n’est pas toujours disponible. Les mois d’hiver arrivent et la nourriture disparaĂźt pendant quelques mois. Ils ont appris Ă  s’adapter et c’est en diminuant le mĂ©tabolisme et d’autres choses. Comment ils prĂ©servent l’énergie Tous les animaux, dans une certaine mesure, conservent leur Ă©nergie, en particulier pendant l’hiver. Certains petits animaux comme les tamias stockent de la nourriture pour l’hiver et lorsqu’ils sentent qu’il est temps de manger Ă  nouveau, ils vont prendre une petite collation. Les pingouins rĂ©duisent leur activitĂ© physique et mentale, essentiellement la lĂ©thargie, pendant l’hiver afin de prĂ©server leur Ă©nergie. Les serpents, en revanche, ont une façon incroyable de le gĂ©rer. En 2007, Marshall McCue, un biologiste diplĂŽmĂ© de l’universitĂ© de l’Arkansas, a rĂ©alisĂ© une Ă©tude dans laquelle il a confinĂ© 62 serpents dans des cages sans nourriture ni possibilitĂ© de se dĂ©placer pour voir combien de temps ils pouvaient rester sans nourriture. Les serpents Ă©taient de trois types diffĂ©rents serpents-rat, crotales occidentaux Ă  diamant et pythons Ă  billes. Il les a testĂ©s pendant 168 jours ou 6 mois. Pendant cette pĂ©riode, les serpents Ă©taient forcĂ©s d’ĂȘtre inactifs. McCue a appris plus que ce qu’il avait prĂ©vu. Il a appris que les serpents passent par des Ă©tapes dans l’utilisation de leur Ă©nergie alors qu’ils sont dans un Ă©tat mĂ©tabolique rĂ©duit. D’abord et avant tout, le serpent va brĂ»ler toutes les rĂ©serves de graisse qu’il a choisies. AprĂšs cela, cela peut dĂ©pendre du serpent et des choix alimentaires. Ratsnakes dĂ©composer les protĂ©ines plus rapidement que les pythons et les crotales, en raison des rongeurs qui autour pour la proie. Les serpents sont assez rĂ©cents lorsqu’il s’agit de crĂ©atures sur cette terre, pourtant ils couvrent la plupart des reptiles et nous n’en savons pas autant que nous le devrions. Les serpents continuent Ă  grandir malgrĂ© leur taux mĂ©tabolique rĂ©duit ! C’est un autre sujet dont les chercheurs doivent parler et Ă©tudier. Cela montre que les serpents sont des animaux extrĂȘmement efficaces dans l’utilisation de leurs ressources. Ils savent comment utiliser leur corps Ă  leur avantage. Imaginez ça. McCue explique que c’est une question d’offre et de demande. La demande » de ressources est couverte par la rĂ©duction du taux mĂ©tabolique, de sorte que l’on n’a pas besoin d’autant de ressources. L' »offre » est couverte par de petites utilisations calculĂ©es des ressources qui sont conservĂ©es dans le corps. Les serpents sont des animaux trĂšs performants depuis qu’ils existent. Ils peuvent s’adapter aux changements. Ils n’ont pas besoin d’utiliser beaucoup d’énergie pour survivre et c’est pourquoi ils ont rĂ©ussi Ă  Ă©voluer. La façon dont les serpents digĂšrent la nourriture est impressionnante. Les serpents n’ont pas de dents pour hacher et dĂ©couper leur nourriture. Les serpents venimeux ont des enzymes digestives dans leur venin qui commencent Ă  dĂ©composer leur repas avant mĂȘme qu’il ne soit avalĂ©. Ils possĂšdent de puissantes enzymes digestives qui contribuent Ă  apporter les nutriments du repas. Les serpents sont des crĂ©atures sans membres avec un long tunnel pour le systĂšme digestif. Celui-ci s’étend de l’extrĂ©mitĂ© de la bouche Ă  l’anus du serpent. Souvent, leur systĂšme digestif est inactif lorsque le serpent est actif et le systĂšme digestif est actif lorsque le serpent est actif. Les serpents ont des mĂąchoires incroyables qui peuvent s’étendre au-delĂ  des limites normales. Leur mĂąchoire infĂ©rieure est coupĂ©e en deux pour permettre une meilleure manƓuvre lors de la dĂ©glutition. La digestion commence dans la bouche. La proie est enduite de salive qui contient des enzymes digestives. La dĂ©glutition prend en fait un temps assez important. Comme les humains et les autres animaux, les serpents ont un Ɠsophage. L’Ɠsophage d’un serpent est long et musclĂ©. Croyez-le ou non, l’Ɠsophage reprĂ©sente environ un quart Ă  la moitiĂ© du corps du serpent. Ce gros muscle aide Ă  dĂ©placer le repas le long du corps jusqu’à l’estomac pour qu’il soit complĂštement digĂ©rĂ©. La colonne vertĂ©brale et le corps se plient pour que les cĂŽtes du serpent et il en a beaucoup poussent la nourriture vers le bas. Tout cela se poursuit jusqu’à ce que le repas soit complĂštement avalĂ© et entre dans l’estomac qui attend de dĂ©composer encore plus la nourriture. Ensuite, le foie et la vĂ©sicule biliaire travaillent ensemble pour crĂ©er la bile qui dĂ©compose les graisses. Le pancrĂ©as produit un liquide digestif. Finalement, les dĂ©chets sont Ă©vacuĂ©s Ă  l’extrĂ©mitĂ© du serpent. Les griffes et les poils de la proie sont les seules choses qui ne sont pas digĂ©rĂ©es. En choisissant son repas, le serpent doit se demander s’il pourra l’avaler. Vous connaissez la phrase, Les yeux sont plus gros que l’estomac » ? Oui, c’est quelque chose qu’un serpent ne peut pas se permettre de rater. Le serpent doit ĂȘtre capable d’avaler la crĂ©ature en entier. Il ne peut pas la diviser. Il rĂ©gurgitera le repas s’il est trop gros. Un autre fait est que le serpent doit prendre en considĂ©ration si le repas peut ĂȘtre digĂ©rĂ© avant qu’il ne commence Ă  pourrir en lui. La digestion peut prendre des jours ou des semaines. Cela dĂ©pend du repas, mais s’il n’est pas digĂ©rĂ© assez rapidement, il pourrira Ă  l’intĂ©rieur du serpent et lui fera du mal. Cela provoque une distension. La distension est un effet d’élargissement ou de gonflement du corps qui peut nuire au serpent, voire le tuer. Autres facteurs de la digestion Les serpents consomment gĂ©nĂ©ralement des aliments qui reprĂ©sentent environ 25 % de leur poids corporel. Plus la proie est grosse, plus elle est longue Ă  digĂ©rer. Certains serpents, comme les pythons, mangent beaucoup plus en termes de comparaison de poids. On connaĂźt jusqu’à 65 %. Certains serpents mangent de petites quantitĂ©s frĂ©quemment et d’autres de grandes quantitĂ©s de temps en temps. C’est logique. Certaines personnes mangent simplement plus que d’autres et c’est la mĂȘme chose avec les serpents. Ceux qui ne mangent pas trĂšs souvent voient la croissance de leur foie, de leur intestin et de leur cƓur augmenter considĂ©rablement lorsqu’ils mangent. La consommation d’oxygĂšne de l’animal est multipliĂ©e par 60. Cela demande tellement d’efforts au serpent qu’il va rester endormi pendant une longue pĂ©riode. Parfois, le serpent rĂ©gurgite ou vomit de la nourriture. La diffĂ©rence est que les vomissements proviennent de la nourriture dĂ©jĂ  digĂ©rĂ©e et que les rĂ©gurgitations proviennent de l’Ɠsophage. Cela se produit gĂ©nĂ©ralement en cas de stress ou de problĂšmes de santĂ©. D’autres problĂšmes peuvent ĂȘtre que la proie Ă©tait trop grosse ou que la tempĂ©rature Ă©tait trop basse pour pouvoir ĂȘtre digĂ©rĂ©e. Les pythons ont d’autres compĂ©tences de survie impressionnantes. Pensez Ă  la façon dont les serpents sont incroyables. Ils sont trĂšs dĂ©savantagĂ©s sur le plan de l’évolution. Ils n’ont pas de bras, de jambes, d’oreilles et d’autres choses que les humains et les animaux ont. Pourtant, malgrĂ© cela, ils vivent parfaitement bien et ce, depuis de nombreuses annĂ©es. Ils glissent pendant des jours et accomplissent quand mĂȘme tout ce qu’ils ont Ă  faire. Les serpents sont vraiment une merveille de l’évolution. Les serpents utilisent le soleil pour augmenter la tempĂ©rature de leur corps. Ce sont des animaux Ă  sang froid, ce qui signifie qu’ils ne peuvent pas crĂ©er ou rĂ©guler leur propre chaleur. Tous les reptiles sont comme ça. La tempĂ©rature de leur corps s’adapte Ă  celle de la rĂ©gion dans laquelle ils vivent. C’est pourquoi les serpents des rĂ©gions plus froides doivent hiberner pendant l’hiver. S’ils ne le font pas, ils mourront d’avoir trop froid. Comme la plupart des choses se couchent la nuit, les serpents sont des chasseurs nocturnes. Il est plus facile pour eux d’attraper quelque chose dans l’obscuritĂ© et il est plus difficile de les voir s’approcher dans le noir. Ils sont efficaces parce qu’ils comptent sur des mouvements rapides et que certains serpents ont une vision thermique. La combinaison de la vision thermique, des vibrations et de la dĂ©tection des mouvements permet aux serpents d’ĂȘtre incroyablement efficaces pour chasser la nuit. Les serpents perdent aussi leur peau. Ils le font parce que leur corps s’étend et grandit. Une autre raison est de se dĂ©barrasser des parasites qui se trouvent sur la vieille peau morte. Ils ont un mĂ©canisme de protection naturel pour protĂ©ger leur peau. Lorsqu’ils avalent de la nourriture, certains serpents ont de petites dents de prĂ©hension qui pointent vers l’arriĂšre, dans la bouche du serpent. Ainsi, les proies vivantes ne peuvent pas s’échapper, ce qui permet au serpent d’avaler plus facilement sa nourriture. Les crotales ont des crochets. Allez comprendre, non ? Mais honnĂȘtement, ils s’en servent pour se protĂ©ger des prĂ©dateurs ou pour avertir les autres animaux. Le hochet peut ĂȘtre utilisĂ© pour effrayer ou persuader. Le serpent Ă  nez de cochon occidental va changer de comportement. S’il sent qu’il ne peut pas intimider son ennemi, il se retournera sur le dos et agira comme s’il souffrait et convulsera. Elle agira ensuite comme si elle Ă©tait morte et si vous attendez quelques minutes, ce serpent sournois lĂšvera la tĂȘte pour voir si la voie est libre et passera ensuite son chemin. Que dois-je savoir d’autre sur l’alimentation des pythons bals ? Ce n’est pas parce qu’un python royal peut passer 6 mois sans manger qu’il doit le faire, alors Ă  quelle frĂ©quence devez-vous le nourrir ? Regardez votre propre serpent et ses habitudes pour obtenir les meilleurs conseils. C’est une question de cas par cas, mais la rĂšgle gĂ©nĂ©rale est une fois tous les 10 Ă  14 jours. Les jeunes et les bĂ©bĂ©s serpents doivent manger plus souvent. Une fois par semaine ou tous les 5 Ă  6 jours devrait fonctionner. C’est une pratique courante. Observez votre serpent et ses habitudes. Il vous dira quand. En captivitĂ©, les pythons bals sont nourris de rats et de souris. C’est la rĂšgle gĂ©nĂ©rale. Vous pouvez leur donner d’autres petits animaux comme des gerbilles, des hamsters, d’autres races de souris. Certains mangent mĂȘme des souris dĂ©jĂ  tuĂ©es. On peut les Ă©lever ou les entraĂźner Ă  manger de cette façon. HonnĂȘtement, n’importe quelle race de rongeur de base fera l’affaire. Ils ont besoin de protĂ©ines, alors nourrissez-les avec. Les pythons et les boas sont des carnivores. Leur rĂ©gime alimentaire simple est constituĂ© de rongeurs. Ils ont besoin des protĂ©ines pour avoir l’énergie nĂ©cessaire pour avaler et digĂ©rer la nourriture. Si vous ne donnez pas Ă  votre serpent un rĂ©gime alimentaire appropriĂ©, votre serpent ne fera probablement pas long feu. Vous ne pourrez pas changer le rĂ©gime alimentaire de votre serpent. Ils savent ce qu’ils veulent et c’est le cercle naturel de la chaĂźne alimentaire. Il ne mangera rien d’autre que des rongeurs remplis de protĂ©ines. Beaucoup de gens se demandent si les pythons bals peuvent ou non manger des insectes comme les araignĂ©es, mais les pythons bals sont des carnivores et ils veulent manger de la viande. Ils ont besoin de protĂ©ines pour la digestion, ils mangeront donc des rongeurs et c’est vraiment tout ce dont vous avez besoin pour les nourrir. Il est important de savoir que vous devez gĂ©nĂ©ralement attendre environ 48 heures aprĂšs l’alimentation pour toucher votre python royal. Vous ne voudriez pas non plus ĂȘtre touchĂ© aprĂšs avoir mangĂ©, il est donc logique de laisser un peu d’espace au serpent. Si votre serpent devient nerveux, il pourrait rĂ©gurgiter sa nourriture. Ceci est potentiellement dangereux parce que leur acide gastrique est fort et pourrait endommager l’extĂ©rieur de leur corps. Laissez-lui le temps de digĂ©rer et vous pourrez alors interagir Ă  nouveau avec lui. Questions connexes Combien de temps une couleuvre peut-elle rester sans manger ? Les couleuvres hibernent pendant les mois d’hiver. Pour cette raison, elles se privent de nourriture pendant un certain temps. Environ 2 ou 3 mois, comme on peut s’y attendre. Elles peuvent aussi rester des jours, voire des semaines, sans manger lorsqu’elles perdent leur peau. Les morsures de python royal sont-elles douloureuses ? La plupart du temps, les pythons bals mordent de maniĂšre dĂ©fensive. S’ils sont manipulĂ©s avec douceur et qu’ils ont Ă©tĂ© apprivoisĂ©s, vous risquez moins d’ĂȘtre mordu. Une morsure dĂ©fensive d’un bĂ©bĂ© ne fera pas trĂšs mal. Je pense que l’on peut supposer Ă  juste titre qu’une morsure de n’importe quoi va faire un peu mal. Certains ont dit que c’était surprenant. D’autres ont dit qu’une griffure de chat faisait encore plus mal. Les serpents peuvent-ils manger de la nourriture humaine ? Ils ne doivent pas manger de nourriture humaine. Une grande partie de celle-ci ne fait pas partie de leur rĂ©gime alimentaire. Les serpents avalent leur nourriture en entier. Ils mangent des rongeurs, donc des souris, des rats, des gerbilles, etc. Ils ne sont pas vĂ©gĂ©tariens. Il n’y a pas de serpents vĂ©gĂ©tariens. GR20 RĂ©cit, Bilan et conseils sur le plus beau trek d'europe Mis Ă  jour le 17 septembre 2021 Cet article n’a pas pour but de te faire un compte–rendu dĂ©taillĂ© de chacune des Ă©tapes du GR20, sachant que toutes ces infos sont trĂšs bien expliquĂ©es dans les guides. Non, Ă  la place cet article sera surtout photographique avec mes impressions et conseils sur les Ă©tapes ainsi que des infos pratiques sur les refuges auprĂšs desquels nous avons bivouaquĂ©. Si les dĂ©tails ne t’intĂ©ressent pas, alors voici le menu pour accĂ©der rapidement Ă  la section pour laquelle tu souhaites avoir plus d’infos. RĂ©sumĂ© des Ă©tapes Etape 1 Calenzana – Ortu Di i PobbiuEtape 2 Ortu Di i Pobbiu – CarrozzuEtape 3 Carrozzu – AscoEtape 4+5 Asco – Tighjettu – Ciuttulu di I MoriEtape 6 Ciuttulu di I Mori – ManganuEtape 7+8 Manganu – Petra Piana – OndaEtape 9+10 Onda – Vizzavona – CapannelleEtape 11 Capannelle – PratiEtape 12+13 Prati – Usciolu – CrocceEtape 14+15 Crocce – Asinau – PaliriEtape 16 Paliri – ConcaBilan et informations pratiques Le GR20 en rĂ©sumĂ© DĂ©part / ArrivĂ©e Calenzana / Conca DifficultĂ© Difficile 4/5 JoursEtapesDistance kmDurĂ©e EstimĂ©eDurĂ©e RĂ©elleDĂ©nivelĂ© +DĂ©nivelĂ© -DifficultĂ©11 Calenzana – Ortu di u Pobbiu116h305h1480180++22 Ortu di u Pobbiu – Carrozzu – Asco86h104h30800640+++44+5 Asco – Tighjettu – Ciuttulu di I Ciuttulu di I Mori – Manganu238h8h6501050++67+8 Manganu – Petra Piana – Onda variante alpine1810h7h3017001200+++79+10 Onda – Vizzavona – Capanelle2411h159h301750820+++811 Capanelle – Prati185h455h30970750++912+13 Prati – Usciolu – Crocce2412h9h9301200++1014+15 Crocce – Asinau – Paliri par Bavella197h308h11101610+++1116 Paliri – Conca134h4h3201120++ Tu cherches un trek "clĂ© en main" incluant les transferts et/ou le transport de tes bagages ? L'agence Grand Angle spĂ©cialisĂ©e dans les voyages Ă  pied propose plusieurs options pour rĂ©aliser le GR20 avec un guide ou en libertĂ© ! Jour -1 ArrivĂ©e en Corse Dans le vol qui nous amĂšne Ă  Calvi, je suis toute excitĂ©e. Cela fait 4 mois que je m’y prĂ©pare, je n’en peux plus d’attendre, demain c’est le grand jour ! AprĂšs avoir survolĂ©e la Provence et Nice, au loin, au milieu de l’ocĂ©an se dessinent les sommets Corses. Les criques se dĂ©voilent, l’eau s’éclaircie et mon petit cƓur est en Ă©moi. Enfin, GR20, nous voilĂ  ! Nous choisissons de rejoindre le camping communal de Calenzana en taxi pour la modeste ahemmmm somme de 32€. Il n’y a pas foule au camping, je me dis que c’est plutĂŽt chouette. Nous avons l’embarras du choix pour l’emplacement de notre tente. Parfait. Cet aprĂšs-midi lĂ , la France joue contre l’Argentine en coupe du monde. Je motive le co-Ă©quipier pour se traĂźner dans un bar et profiter de nos derniers instants avant de quitter la civilisation pour 12 jours. Mais il est 15h30, il fait chaud. TrĂšs chaud. Et la route qui mĂšne au centre-ville est plutĂŽt abrupte. L’air frais de la supĂ©rette nous happe et devant le choix de produits nous renonçons au bar pour quelques Pietra bien fraĂźches et du bon fromage Corse en guide d’apĂ©ro. De retour au camping, stupĂ©faction ! On a Ă©tĂ© envahis ! Des tentes ont poussĂ©es comme des champignons autour de la notre
 je sens que la tranquillitĂ© ce ne sera pas pour ce soir. En effet, il faudra attendre presque 22h pour que les derniers campeurs arrivent et s’installent, non sans bruit, et que je puisse m’endormir tranquillement jusqu’à 6h, heure de rĂ©veil pour notre premiĂšre journĂ©e. Recharge appareil Ă©lectrique possible. Plusieurs prises disponibles et gratuites dans la salle commune et les sanitaires Vaisselle disponible Ouverture Ă  partir de 15h30 Camping et dortoir, pas de location de tente Jour 1 Ă©tape 1 Calenzana – Ortu Di i Pobbiu en 5h OU PAS ! C’était sans compter sur tous nos voisins de camps qui ont commencĂ© Ă  plier bagage vers 
 4h ! Alors, autant pour tous ceux qui souhaitaient doubler l’étape je comprends totalement. Mais qu’on ne me fasse pas croire que c’était le plan de tous les campeurs prĂ©sents. J’ai franchement hallucinĂ© en fait. Je ne savais pas quoi penser
 sachant que la durĂ©e estimĂ©e de l’étape est de 6h30, cela signifiait qu’en partant vers 5h les gens arriveraient vers 12h au refuge. Quel intĂ©rĂȘt d’arriver aussi tĂŽt ? Pour Ă©viter la chaleur ? Parce que les gens sont lents Ă  se prĂ©parer ? Ou lents Ă  marcher ? A moins tout simplement que les durĂ©es estimĂ©es sous-estiment le temps rĂ©el ? Mmmm
 A 5h30 nous Ă©tions finalement complĂštement rĂ©veillĂ©s donc Ă  quoi bon attendre. Une de nos hypothĂšses s’est rapidement vĂ©rifiĂ©e quand Ă  6h12 prĂ©cisĂ©ment nous quittions le camping, alors que certains lĂšves-tĂŽt en Ă©taient encore Ă  leur petit-dĂ©jeuner
 Il n’aura fallu attendre que quelques centaines de mĂštres aprĂšs la sortie du village pour confirmer une deuxiĂšme hypothĂšse lorsque nous avons dĂ©passĂ© un groupe dĂ©jĂ  tout essoufflĂ©. Loin de moi l’idĂ©e de me moquer, je constate juste la rĂ©alitĂ© de personnes parfois peu ou mal prĂ©parĂ©es. Le chemin monte ensuite tranquillement Ă  travers les hautes herbes pour rejoindre la forĂȘt de pin. Le soleil se lĂšve juste dans notre dos, embrassant de sa lueur dorĂ©e les sommets devant nous. Nous prenons rapidement de la hauteur et lorsque la vue se dĂ©gage de nouveau, nous arrivons au premier belvĂ©dĂšre avec un sublime panorama sur la baie de Calvi. Les vraies difficultĂ©s apparaissent ensuite, avec un petit passage technique au milieu des rochers. Rien de compliquĂ©, la chaĂźne est surtout utile pour ceux qui arrivent du sud. Le poids du sac commence Ă  bien se faire sentir sur les Ă©paules. Je n’ai qu’une hĂąte, terminer cette montĂ©e abrupte qui n’en finit pas ! PassĂ© le replat, je jette un dernier coup d’Ɠil vers la mer derriĂšre moi avant de poursuivre vers les hauts sommets qui me font dĂ©sormais face. Alors que je me rafraĂźchis quelques secondes en contemplant ce panorama. Un objet attire mon Ɠil dans le lointain. Ne serait-ce pas
? Mais si ! Le refuge se devine, seul, au milieu d’un promontoire rocheux. Il semble si prĂšs et pourtant il nous reste encore plusieurs kilomĂštres avant de le rejoindre. Heureusement, c’est la partie la plus simple de la journĂ©e, un faux plat. Il est 10h30, j’accĂ©lĂšre le pas car la faim commence sĂ©rieusement Ă  se faire sentir ! Notre repas de la veille composĂ© de pain-fromage n’était pas assez copieux et malgrĂ© mon petit dĂ©jeuner, mon corps n’est pas encore habituĂ© Ă  l’effort. J’ai l’habitude, la premiĂšre journĂ©e est toujours la plus difficile, c’est le coup de remettre la machine en marche comme on dit. Nous arrivons finalement vers 11h15 au refuge oĂč nous n’aurons pas la chance de cĂ©lĂ©brer notre premiĂšre Ă©tape Ă  la biĂšre car le refuge n’a pas Ă©tĂ© ravitaillĂ© derniĂšrement. Tant pis. Une motivation de plus pour arriver de bonne heure le lendemain ! L’avantage d’arriver tĂŽt aux refuges c’est de pouvoir profiter des douches sans faire la queue, et de choisir son emplacement de tente
 Ă  l’ombre, loin du monde pour ne pas ĂȘtre rĂ©veillĂ©s aux aurores comme la nuit passĂ©e. Je profite du calme ambiant avant l’arrivĂ©e massive des randonneurs pour faire une petite sieste. Rien de mieux pour rĂ©cupĂ©rer ! Sauf quand les vaches viennent faire du rodĂ©o autour des tentes
 J’peux te dire que quand tu ne t’y attends pas, que tu vois des buissons bouger juste devant toi et des cornes s’en extraire, ben tu rigoles pas ! Superbe vue Plusieurs douches froides et des toilettes sĂšches Nombreux emplacements bien terrassĂ©s et dĂ©limitĂ©s mais peu de places Ă  l’ombre. Certains emplacements sont Ă©loignĂ©s du refuge, avec une bonne pente pour y accĂ©der. D’oĂč l’intĂ©rĂȘt d’arriver de bonne heure
 PrĂ©sence de vaches sauvages Pas possible de recharger ses appareils Jour 2 Ă©tape 2 Ortu Di i Pobbiu - Carrozzu en 5h30 RĂ©veillĂ©e par la fraĂźcheur matinale vers 5h30, le temps de plier le camp Ă  la frontale, il est environ 6h quand nous partons. AprĂšs plusieurs minutes de marche, le scĂ©nario de la veille se rĂ©pĂšte quand nous doublons les mĂȘmes groupes que la veille. Le “troupeau” derriĂšre nous, nous profitons enfin du calme et de la beautĂ© des lieux. ComparĂ©s Ă  la veille, les paysages sont totalement diffĂ©rents. La vĂ©gĂ©tation fait place aux roches minĂ©rales. Le sentier bien tracĂ© n’est dĂ©sormais plus. A nous la chasse aux balises ! J’avoue que ce petit cĂŽtĂ© “recherche de balises” est sympathique car il permet de faire diversion. On pense moins Ă  sa fatigue qu’à la prochaine marque Ă  trouver. Enfin, tout est relatif, hein. MĂȘme si le dĂ©nivelĂ© est moins important que la veille, cette Ă©tape est bien plus fatigante, car bien plus technique. Mais grĂące Ă  la diversion balise, en moins de temps que nous imaginions, nous voilĂ  arrivĂ© Ă  Bocca di Pisciaghja. Le panorama est magnifique! Je n’en reviens pas de la couleur de la roche, mĂ©lange de teintes roses-orangĂ©es. Une pause pom’pote le temps de se reposer et de sĂ©cher, et nous voilĂ  dĂ©jĂ  repartis. Le topo guide nous avait prĂ©venu, la descente est ardue. Plus de 1000m de dĂ©nivelĂ© nĂ©gatif dans les pierriers. Je n’ai pas vraiment le temps d’apprĂ©cier le paysage, mes yeux sont rivĂ©s au sol. Chaque pas est important, trouver les bons cailloux oĂč poser ses pieds, apprendre Ă  repĂ©rer les plus stables. Les chaussures glisses, les genoux flagellent, les jurons s’échappent
 A mi-parcours, mes yeux devinent tout de mĂȘme le refuge au milieu des arbres. Ça motive de le savoir en vue, et en mĂȘme temps se dire qu’il reste encore TOUT ÇA de pierres Ă  descendre. Pfiou. Bon, ben, pas le choix maintenant qu’on est lĂ . Le cliquetis de la riviĂšre est salvateur. Annonciateur du refuge Ă  quelques mĂštres. Cette fois-ci, la Pietra ne nous Ă©chappera pas ! Pour la deuxiĂšme journĂ©e consĂ©cutive, nous arrivons avec une bonne longueur d’avance par rapport aux durĂ©es indiquĂ©es sur notre guide. Cela me rassure quant Ă  la rĂ©ussite de notre projet, initialement prĂ©vu en 12 jours. AprĂšs la biĂšre de rigueur, nous cherchons un emplacement
 chose compliquĂ©e ici. Les emplacements sont bien dĂ©limitĂ©s mais trĂšs collĂ©s les uns aux autres. Certes, nous avons de l’ombre. Mais dans la forĂȘt qui parait bien humide. Mouais, bof. Tant pis, c’est que pour une nuit. Je profite que nous soyons quasi seuls pour me baigner dans les piscines naturelles de la riviĂšre et faire ma lessive !. Au dessus de moi, la brume descend sur les sommets. Rapidement. Trop rapidement. En moins de 5 minutes je n’y vois plus Ă  2 mĂštres et qu’est ce qu’il caille ! Bon, ben, fin de la baignade. Quand on dit qu’en montagne le temps peut rapidement changer, je confirme ! Je pense Ă  tous les randonneurs dans les pierriers
 J’espĂšre juste que le lendemain le soleil sera de retour, c’est un peu ma hantise de devoir randonner sous la pluie. En attendant, tout comme la veille, je profite du calme pour faire une petite sieste et me reposer pour bien rĂ©cupĂ©rer. Places de bivouac peu intĂ©ressantes, trĂšs serrĂ©es Plusieurs douches froides et des toilettes sĂšches Pas possible de recharger ses appareils PossibilitĂ© de se baigner dans les piscines naturelles de la riviĂšre Jour 3 Ă©tape 3 Carrozzu - Asco en 4h30 Bonne surprise au rĂ©veil, malgrĂ© la rosĂ©e qui a bien trempĂ© la tente, la brume de la veille s’est dissipĂ©e. Le soleil n’est pas encore levĂ© mais la clartĂ© dĂ©jĂ  bien prĂ©sente laisse prĂ©sager d’une belle journĂ©e ensoleillĂ©e. DĂ©sormais bien rodĂ©s au pliage de la tente et de nos sacs, nous sommes prĂȘts rapidement. Je suis impatiente de partir car d’aprĂšs le guide, cette journĂ©e est l’une des plus belles dans le nord avec notamment la traversĂ©e par la passerelle de Spasimata. Je t’avoue que j’ai Ă©tĂ© quelque peu déçue par la passerelle
 je m’attendais Ă  un truc de bien plus grandiose. Il s’agit juste d’un pont de singe, du mĂȘme style que tu peux trouver dans les accro-branches ou les via-ferrata. Sauf que lĂ , t’es pas attachĂ©. Mais la Corse a plus d’un tour dans son sac
 quelques centaines de mĂštres plus loin, la magie opĂšre. Le soleil fait une timide apparition derriĂšre les montagnes, illuminant les parois rocheuses devant nous et dĂ©voilant une grande cascade au milieu des blocs. Il n’y a presque aucun arbre dans ce couloir, un vrai paysage lunaire loin de tout ce que j’aurais pu imaginer dĂ©couvrir en Corse ! Mais point de longues pauses pour qui veut arriver tĂŽt. L’ascension est longue, avec quelques passages techniques pourvus de chaĂźnes et d’autres passages tout autant sportifs mais sans chaĂźnes
 Clairement, si tu as le vertige certaines sections peuvent ĂȘtre compliquĂ©es. Nous atteignons non sans mal le petit plateau du lac de la Muvrella, un coin fort sympathique pour se poser avant d’entamer la derniĂšre grosse montĂ©e
 s’il n’était pas complĂštement Ă  l’ombre en dĂ©but de matinĂ©e ! Nous prĂ©fĂ©rons donc nous attaquer rapidement Ă  cette ascension bien raide dans un pierrier plutĂŽt que de nous refroidir prĂšs du lac. Une fois de plus, la rĂ©compense est Ă  la hauteur de l’effort fourni lors de cette ascension. Le panorama sur les crĂȘtes est superbe. Les nuages de la veille sont trĂšs loin tant le ciel bleu est limpide. AprĂšs quelques minutes ou heures, je ne sais plus trĂšs bien Ă  longer la crĂȘte en plein soleil, nous amorçons la descente vers la station de Haut Asco, toujours en compagnie de nos amies les pierres. D’ailleurs, ce jour lĂ  j’ai eu envie d’élever notre complicitĂ© Ă  un Ă©chelon supĂ©rieur. Les regarder Ă  longueur de journĂ©e et les sentir sous mes pieds ne me suffisait plus, il me fallait un vrai contact, fort, puissant, comme une grande embrassade avec ta famille que tu n’as pas vu depuis un bail. Bref, je suis tombĂ©e. Mais j’ai fait ça bien ! Si j’avais la vidĂ©o, sĂ»re que je passais dans VidĂ©oGag ! ah, on me dit dans l’oreillette que cette Ă©mission n’existe plus 
 Les pieds coincĂ©s entre deux rochers, avec le poids de mon sac j’ai basculĂ© en avant
 tu la vois la tortue sur le dos qui peut pas se relever? ben voilĂ  cherche pas, c’était moi. A dĂ©faut d’avoir une blessure de guerre Ă  ramener, ce petit Ă©pisode aura au moins eu le mĂ©rite de me faire marrer le reste du trajet. Il s’agit d’une station accessible en voiture avec toutes les commoditĂ©s dont une petite supĂ©rette avec du pain! mieux garnie que dans les refuges, profites-en pour faire le plein ! Des douches chaudes gratuites Plusieurs prises dans la cuisine pour recharger ses appareils gratuitement Il y a un bar / glacier ! Les emplacements de bivouac sont assez nombreux mais mal dĂ©limitĂ©s Quelques vaches sauvages se promĂšnent entre les tentes 
 Jour 4 Ă©tapes 4 et 5 Haut Asco – Ciuttollu di i Mori en 9h Le terrain en pente de notre emplacement de bivouac aura eu raison de notre sommeil et c’est encore plus tĂŽt que d’habitude que nous commençons cette Ă©tape. Et quelle Ă©tape ! RĂ©putĂ©e trĂšs difficile, c’est celle que tout le monde apprĂ©hende en faisant le GR20. C’est aussi l’étape qui passait par le cirque de la solitude il y a quelques annĂ©es mais qui est maintenant dĂ©viĂ©e par la pointe des Ă©boulis suite Ă  un accident tragique. Mais ne te mĂ©prend pas, la variante possĂšde certes des passages moins dangereux mais elle est plus difficile sportivement parlant car plus longue avec un dĂ©nivelĂ© plus important. Bref, j’attendais cette journĂ©e de pied ferme pour savoir enfin ce que j’avais dans le ventre ! A peine avions nous quittĂ© le refuge que le soleil se levait, nous offrant un de ces spectacles dont lui seul Ă  le secret. Le genre Ă  te donner la pĂȘche et la motivation pour le reste de la journĂ©e. Et donc maintenant tu veux sĂ»rement savoir si c’est aussi difficile qu’on le dit ? Oui, cette Ă©tape est difficile car pas du tout, mais alors pas du tout roulante. Je pense que tu passes autant de temps Ă  grimper sur les rochers en t’aidant de tes bras, que dans les pierriers. Au moins ça permet d’alterner et de reposer les membres chacun Ă  leur tour. Et puis l’ascension est trĂšs longue. A chaque fois que tu penses en voir la fin, surpriiiiiise ! en fait non, l’ascension continue et traverse mĂȘme quelques nĂ©vĂ©s de fin de saison. Pour tout dire, j’ai dĂ©couvert ce jour lĂ  qu’il est possible de rĂ©cupĂ©rer et de se reposer tout en continuant Ă  monter
 La vue Ă  la pointe des Ă©boulis n’est pas la plus fantastique, mais c’est la plus symbolique. La fiertĂ© d’ĂȘtre dĂ©jĂ  arrivĂ© lĂ . Se dire qu’on l’a fait. La motivation est Ă  son maximum, Ă  ce stade du GR rien ne peut plus nous arrĂȘter, sauf blessure. La descente se fait au soleil, toujours dans un Ă©norme pierrier, mais pour le coup, lĂ , la vue est splendide ! AprĂšs le lac du Cinto, on descend tout droit direction le refuge de Tighjettu en suivant la riviĂšre. Le changement de dĂ©cor entre les deux versants est impressionnant. Il n’est que 11h quand nous arrivons au refuge. Nous avions initialement prĂ©vu de continuer un peu plus loin jusqu’aux bergeries de ballone et ainsi prendre un peu d’avance sur tout le groupe qui nous rejoint tous les soirs depuis le dĂ©but. Mais parce que rien ne se passe jamais comme prĂ©vu, et que sur le GR20 on fait de nombreuses rencontres, on a finalement dĂ©cidĂ© de pousser jusqu’au refuge de Ciuttollu di i Mori sur les conseils et la motivation d’un autre groupe de randonneurs avec lesquels nous avons bien sympathisĂ©. La premiĂšre partie de cette Ă©tape se fait Ă  l’ombre, en partie en forĂȘt donc c’est plutĂŽt agrĂ©able en dĂ©but d’aprĂšs-midi. Par contre ça se corse hohoho vraiment Ă  la fin alors que t’en as plein les pattes et qu’une nouvelle ascension dans les rochers et en plein cagnard t’attend ! MalgrĂ© nos camelbaks et nos gourdes remplies, on s’est retrouvĂ© Ă  sec au milieu de la montĂ©e. Heureusement qu’à cette Ă©poque de l’annĂ©e il y a encore pas mal de sources et de rĂ©surgences parce que sinon on aurait trouvĂ© les derniĂšres centaines de mĂštres bien compliquĂ©es. Ce soir lĂ , l’arrivĂ©e au refuge a Ă©tĂ© une vraie dĂ©livrance ! DĂ©jĂ  parce qu’on Ă©tait fiers et pas qu’un peu d’avoir doublĂ© cette Ă©tape, parce que le dĂ©nivelĂ© positif total de la journĂ©e 1900D+ Ă©tait un nouveau record pour nous, et parce que le refuge Ă©tait juste ce qu’on espĂ©rait trouver en Corse. SituĂ© Ă  2000m d’altitude c’est le refuge le plus haut du GR20, dans un cadre un peu plus “rustique” que les prĂ©cĂ©dents refuges et surtout la vue est juste wahou ! Petit refuge plus rustique, moins d’emplacement, moins de monde Douche froide. Pas de recharge possible Superbe vue Jour 5 Ă©tape 6 Ciuttollu di i Mori – Manganu en 8h Cette Ă©tape n’est pas vraiment compliquĂ©e mais elle est trĂšs longue, il n’empĂȘche que c’est vraiment l’étape qui m’a le plus Ă©merveillĂ©e du dĂ©but Ă  la fin tellement la diversitĂ© de paysages traversĂ©s est impressionnante. Ça faisait dĂ©jĂ  4 jours que je me prenais claque sur claque, mais lĂ  j’ai failli perdre mes rĂ©tines, c’est pour te dire. La premiĂšre partie de l’étape se fait en descente, le long de la riviĂšre oĂč des bassins turquoises invitent Ă  la baignade. Il fait encore frais le matin, ce ne sera pas pour cette fois. Le sentier continue ensuite dans la forĂȘt jusqu’au col de Verghio oĂč une petite supĂ©rette bien achalandĂ©e, avec de nombreux produits frais et des pains au chocolat !!!, attend le randonneur affamĂ© ! Et surtout, SURTOUT, tu peux recharger gratuitement tes appareils. Un grand merci au gĂ©rant de la supĂ©rette pour cette dĂ©licate attention sachant qu’à Manganu la recharge est payante. AprĂšs une bonne pause bien mĂ©ritĂ©e, nous entamons la deuxiĂšme partie de l’étape avec pour but le superbe lac de Nino, ses pozzines et ses chevaux sauvages. Le seul hic c’est que cette portion est hyper, hyper, hyper touristique le weekend ! Je ne te cache pas que randonner entourĂ©e de gens, qui parlent, rient, et font du bruit, bah c’est pas ce que je suis venue chercher sur le GR20. C’est un peu ma dĂ©ception car j’aurais aimĂ© me poser un peu prĂšs du lac, mais lĂ  impossible, trop de monde. VoilĂ , tu sais Ă  quoi t’en tenir. La troisiĂšme et derniĂšre partie comporte une longue section plate sur un chemin roulant ! C’est important de prĂ©ciser, c’est tellement rare sur le GR20 ! Par contre, il y a forcĂ©ment un “mais”, le sentier n’est pas ombragĂ© et l’aprĂšs-midi ça cogne fort. Alors soit tu prĂ©vois beaucoup d’eau, soit tu en profites pour te baigner dans la riviĂšre en attendant de reprendre la route en fin d’aprĂšs-midi 
 Je te conseille nĂ©anmoins de ne pas arriver trop tard au refuge de Manganu car les emplacements plats sont plutĂŽt rares 
 Beaucoup de monde. Grand terrain mais pas de place Ă  l’ombre et peu d’emplacements plats. Douche chaude 6mn pour 2€ Recharge possible moyennant 2€ Jour 6 Ă©tape 7 + 8 Manganu - Onda en 7h30 Vu le nombre de randonneurs Ă  dormir au refuge, nous avons prĂ©fĂ©rĂ© mettre notre rĂ©veil de bonne heure afin d’ĂȘtre parmi les premiers Ă  quitter le camp. Et tant qu’à faire, autant le mettre assez tĂŽt pour voir le lever du soleil, hein. Genre 4h30 c’est pas trop mal quoi. En plus, voyant notre bon rythme de marche depuis le dĂ©but, cela nous permettra aussi de doubler l’étape et d’arriver pas trop tard Ă  Onda si tout se passe bien. D’aprĂšs notre guide, l’étape jusqu’à Petra Piana fait partie des plus belles sections du GR20 nord avec la vue imprenable sur les lacs de Capitello et de Melo depuis le col. Mouais. Je ne sais pas si c’est parce que nous sommes partis tĂŽt et qu’avec la frontale on ne pouvait pas trop profiter du dĂ©cor, mais non, cette Ă©tape ne m’a pas plus Ă©merveillĂ©e que ça. En fait c’est presque le contraire, je l’ai trouvĂ© assez chiante, dans le sens Ă©nervante. Certes, j’ai pu profiter d’un joli lever de soleil et nous Ă©tions seuls au monde Ă  randonner, mais il y avait du vent et de la brume sur les crĂȘtes ce qui a rendu notre progression assez compliquĂ©e. Sans parler des 3 ou 4 nĂ©vĂ©s que nous avons dĂ» traverser. Je pense que cette Ă©tape est certainement trĂšs jolie, mais probablement plus dans l’aprĂšs-midi quand les lacs ne sont plus dans l’ombre. En arrivant au refuge de Petra Piana en milieu de matinĂ©e le temps Ă©tait trĂšs incertain. C’était trĂšs venteux et on ne savait pas si la brume allait tomber ou rester sur les sommets. Comme nous avions prĂ©vu de rejoindre Onda par la variante alpine des crĂȘtes, on ne voulait pas prendre le risque de se retrouver dans le brouillard ou sous une averse. En attendant de prendre une dĂ©cision, nous en avons profitĂ© pour nous ravitailler avec quelques cochonneries bien sucrĂ©es mais qui font du bien au moral et un vrai fromage fermier bien odorant Ă  souhait ! Finalement, la brume semblant se dissiper au bout de quelques minutes, nous nous sommes embarquĂ©s sur le chemin des crĂȘtes. Grave erreur jeune padawan ! Les crĂȘtes, bien que dĂ©gagĂ©es de tout brouillard Ă©taient tout de mĂȘme hyper exposĂ©es au vent. Un vent comme rarement j’ai eu l’occasion de braver. Du genre Ă  te faire presque ramper par terre pour avancer. Et puis, si seulement il n’y avait que le vent. On a vite compris notre inconscience quand on s’est retrouvĂ© Ă  franchir des passages techniques. J’peux te dire que lĂ  tu rigoles pas quand tu penses qu’une bourrasque peut te dĂ©sĂ©quilibrer et que dessous toi c’est le vide 
 Et puis, sans comprendre ni pourquoi, ni comment, alors que toi tu luttes pour ta vie, un troupeau de chĂšvres passe juste devant toi. Elles ont mis 2mn lĂ  oĂč toi tu a passĂ© 30mn 
 injustice. Bref, j’te la fait courte, mais la variante alpine quand il y a du vent c’est franchement pas l’idĂ©e du siĂšcle. RĂ©sultat, on a pris un sentier qui aurait du nous faire gagner du temps mais qui s’est avĂ©rĂ© ĂȘtre plus difficile que la voie normale sans gain de temps ce jour lĂ . Heureusement qu’aprĂšs de telles journĂ©es on a le droit Ă  une bonne biĂšre et une douche chaude ! Grand terrain plat avec de l’herbe pour le bivouac Douche chaude payante, 3mn Ă  2€ Recharge possible pour 1€ Plusieurs choix de biĂšre et lasagnes au menu les seules du GR20 Ă  ce qu’il parait Jour 7 Ă©tape 9 + 10 Onda - Capannelle en 9h30 DĂ©jĂ  une semaine que nous arpentons le mythique sentier du GR20 ! Et dĂ©jĂ  tellement de beaux souvenirs en tĂȘte ! Ce jour-lĂ  est une Ă©tape importante pour le moral puisque nous rejoignons Vizzavona qui marque la fin de la section nord du GR20 et qui promet donc, oĂč du moins nous l’espĂ©rions, des sentiers plus roulants et moins fatigants au sud. Huhuhu, naĂŻfs que nous Ă©tions. Mais avant d’apprĂ©cier les joies du sud, nous devions encore rejoindre Vizzavona. Et lĂ  je dois bien t’avouer avec du recul, que l’étape d’Onda Ă  Vizzavona a remportĂ© le trophĂ©e de pire Ă©tape du GR20 haut la main. DĂ©jĂ , depuis Onda tu commences par une bonne montĂ©e bien raide jusqu’à la crĂȘte de Muratello. De quoi bien te couper les jambes. Mais le pire est Ă  venir. Les 1200 mĂštres de descente infernale jusqu’à Vizzavona sur des dalles lisses et raides et en plein soleil de surcroĂźt. Pire que les pierriers j’te dis ! On en avait tellement marre de cette descente qui n’en finissait pas qu’on n’a mĂȘme pas prĂȘtĂ© attention Ă  la cascade des anglais qui, parait-il, est fort sympathique par contre le nombre de touristes, lui, tu peux pas le rater
. Je n’avais qu’une hĂąte, arriver Ă  Vizzavona ! Notre impatience aura finalement Ă©tĂ© rĂ©compensĂ©e par l’accueil trĂšs chaleureux du gĂ©rant de l’épicerie “Chez Rosy” situĂ© dans le centre, juste Ă  cĂŽtĂ© de la voie ferrĂ©e. AprĂšs une bonne pause bien mĂ©ritĂ©e et le ventre plein, nous avons repris la route direction Capannelle dans le sud. Cette Ă©tape n’est pas bien compliquĂ©e, et nous apprĂ©cions de pouvoir marcher sur un sentier sans aucun caillou pour altĂ©rer notre progression ! MalgrĂ© cela, la matinĂ©e nous avait bien Ă©reintĂ©s et c’est sur les rotules que nous arrivons au gite en dĂ©but de soirĂ©e. Ici c’est le paradis ! En plus des douches chaudes gratuites, il y a un large choix de boissons et mĂȘme un restaurant ! Douche chaude gratuite Recharge gratuite Plusieurs choix de biĂšres et de pressions Restaurant Les rĂ©chauds gratuits ne se situent pas Ă  cĂŽtĂ© du gite mais au niveau de l’ancien refuge un peu sur les hauteurs Ă  droite en arrivant au gite. Si tu souhaites les utiliser je te conseille donc de planter ta tente au niveau des premiers emplacements de bivouac et non ceux tout en bas, au dĂ©part du sentier pour le lendemain. Jour 8 Ă©tape 11 Capannelle - Prati en 5h30 Initialement, dans mon planning j’avais prĂ©vu de passer par la variante du Monte Renoso pour rejoindre le col de Verde puis Prati. Mais la fatigue accumulĂ©e les derniers jours m’a forcĂ©e Ă  abandonner cette idĂ©e. Il faut dire que depuis la veille, une douleur lancinante se fait ressentir dans mon avant bras. Je suspectais trĂšs fortement un dĂ©but de tendinite. Je ne sais toujours pas exactement comment j’ai pu dĂ©velopper cette tendinite, mais je pense juste qu’à force de tomber et glisser dans les pierriers et de me rattraper avec mes bĂątons, en compensant surtout du cĂŽtĂ© droit pour mĂ©nager mon genou gauche, ben c’est mon avant bras qui a tout pris pour lui. Et une chose que je sais d’expĂ©rience c’est que quand ton corps t’envoie des signes de fatigues, il faut surtout l’écouter et ne pas forcer. A quelques jours de la fin cela aurait Ă©tĂ© bien bĂȘte de tout gĂącher et de devoir abandonner
 Du coup, nous avons juste fait une petite Ă©tape ce jour-lĂ , arrivant de bonne heure Ă  Prati pour faire une grosse sieste sous la seule et unique averse du sĂ©jour ! Ça ne pouvait pas mieux tomber. Et pour se requinquer on a voulu goĂ»ter la tome fermiĂšre du refuge. ! Je n’avais rien mangĂ© d’aussi bon en 8 jours. Pour la peine on en a repris une deuxiĂšme. Oui une tome chacun, faut bien ça quand tu randonnes 🙂 En fin de journĂ©e les nuages se sont levĂ©s, nous rĂ©vĂ©lant le secret qu’ils cachaient jalousement 
 la cĂŽte de Porto Vecchio ! C’est tellement motivant de se dire qu’on arrive bientĂŽt au but ! AprĂšs cette petite journĂ©e oĂč nous avions bien rechargĂ© les batteries nous pouvions nous endormir frais et dispo pour affronter les derniers kilomĂštres. 
 Et se faire rĂ©veiller par des bĂȘtes sauvages. Oui, il parait, moi je dormais comme un gros bĂ©bĂ©. Mais pendant la nuit, le co-randonneur a Ă©tĂ© rĂ©veillĂ© par un animal qui essayait de rentrer sa tĂȘte dans la tente. Probablement un cochonglier ou un renard sauvage appĂątĂ© par le fromage et les saucissons que nous avions rangĂ©s dans la tente alors qu’on savait bien qu’on risquait des attaques, cherche l’erreur
 Un coup de poing sur la truffe, le groin, le museau ou que sais-je et il Ă©tait parti. Mais le co-randonneur n’en a pas fermĂ© l’Ɠil de la nuit de peur d’une nouvelle attaque le privant de saucisson le lendemain. J’en rigole mais il y a eu des dĂ©gĂąts dans les autres tentes avec des camelbak Ă©ventrĂ©es et des sacs Ă  dos dĂ©chirĂ©s
 MoralitĂ© pendant le GR20, ne dors pas avec un saucisson sous ton oreiller. je te jure je n’aurais jamais cru que j’écrirais ce genre de conseils sur mon blog 😀 Douche froide, mais eau chauffĂ©e naturellement par le soleil si tu as de la chance Une tomme fermiĂšre Ă  tomber Cadre trĂšs sympathique avec une superbe vue sur la cĂŽte Attention aux attaques d’animaux la nuit, pense Ă  mettre ta nourriture en sĂ©curitĂ© dans le refuge Jour 9 Ă©tape 12 + 13 Prati - Crocce en 9h Malheureusement, aprĂšs la nuit mouvementĂ©e qu’il venait de passer, le co-randonneur ne se sentait pas vraiment en forme ce jour-lĂ . Et ce n’est pas le magnifique lever de soleil qui aura suffit Ă  le rebooster. C’était pas la volontĂ© qui manquait, juste le jus dans les pattes. Alors que je rĂȘvais de rejoindre Asinau ce soir lĂ , en passant par le Monte Incudine, et ainsi terminer le GR20 le surlendemain en 10 jours, nous avons dĂ» revoir nos plans. Chacun son tour de subir les consĂ©quences de la fatigue
 Comme quoi ça ne sert Ă  rien de trop prĂ©voir Ă  l’avance, on ne sait jamais ce qui peut se passer une fois sur place. Et puis, nous qui croyions sottement que la section sud serait plus facile que celle du nord, nous nous Ă©tions fourrĂ©s le doigt bien profond dans l’Ɠil. Nous avons retrouvĂ© les gros cailloux qui ne nous manquaient pas et les crĂȘtes avec quelques parties d’escalade. Le co-randonneur Ă©tait joie. MalgrĂ© le gros repas et tous les glucides ingĂ©rĂ©s pendant la matinĂ©e, la forme n’était pas revenue en dĂ©but d’aprĂšs-midi. Nous avons donc dĂ©cidĂ© de passer par la nouvelle version du GR20 et rejoindre la bergerie de Crocce au lieu de se fatiguer encore plus par les crĂȘtes jusqu’à Asinau. Je ne sais pas si c’était vraiment la meilleure option, puisque nous avons remplacĂ© une version plus technique et plus courte par un sentier “un peu” moins fatiguant mais plus long 
 mais aprĂšs notre expĂ©rience ratĂ©e sur les crĂȘtes vers Onda on ne voulait pas prendre de risque. Et puis, de cette façon nous avons pu voir de nouveaux paysages en traversant la mignonne vallĂ©e de golo ce qui nous changeait des derniĂšres Ă©tapes un peu monotones. Nous avons mĂȘme vu les fameux cochongliers en chair et en os ! Ce n’est donc pas une lĂ©gende
 Inutile de prĂ©ciser que nous sommes arrivĂ©s Ă  la bergerie complĂštement cassĂ©s. Mais mystĂ©rieusement, ça va toujours bien mieux une fois attablĂ©e avec une Pietra Ă  la main et les chaussons aux pieds ! Mention spĂ©ciale Ă  l’accueil hyper sympathique que nous avons reçu Douche chaude gratuite Recharge possible pour 1€50 par appareil Pour parer aux attaques de cochongliers, des chiens montent la garde. PrĂ©pare-toi aux aboiements pendant la nuit
 Jour 10 Ă©tape 14 + 15 Crocce - Paliri en 8h MalgrĂ© les aboiements des chiens et les rodĂ©os des cochongliers autour des tentes la nuit passĂ©e, nous avons dormis comme des bĂ©bĂ©s assommĂ©s de fatigue. La derniĂšre grosse journĂ©e nous attend, et surtout ce soir on va pouvoir regarder la demi finale de la coupe du monde, France-Belgique ! Rien que cette pensĂ©e me rĂ©jouit pour rejoindre la civilisation rapidement. Au petit matin, le sentier serpente dans la vallĂ©e illuminĂ©e par les premiers rayons du soleil. Au loin, on aperçoit encore et pour la derniĂšre fois les sommets de la partie nord que j’ai l’impression d’avoir quittĂ©s depuis des mois. C’est fou cette dĂ©connexion et la perte totale de notion de temps que je ressens lors des treks. AprĂšs une petite ascension nous arrivons rapidement au Monte Incudine d’oĂč nous avons une vue plongeante sur les Aiguilles de Bavella, destination de l’aprĂšs-midi. Alors que nous en profitons pour faire une petite pause avant la descente trĂšs raide qui nous attend, des lĂ©zards viennent jouer autour de nous. J’ai Ă©tĂ© trĂšs surprise de voir qu’en Corse les lĂ©zards aussi sont particuliers, moins farouches, plus gros et plus colorĂ©s que par chez moi. La montĂ©e vers les aiguilles de Bavella est assez raide, mais franchement ça vaut vraiment le coup ! Ces formations rocheuses sont tellement impressionnantes ! Par contre, certaines zones sont trĂšs techniques, un peu comme dans le nord et il vaut mieux ne pas ĂȘtre sujet au vertige. Malheureusement pour nous, comme pour le lac de Nino, ces aiguilles sont tellement renommĂ©es qu’il y avait foule de touristes et randonneurs Ă  la journĂ©e. C’est un peu dommage
 je pense que le matin ça doit ĂȘtre plus calme. Autant l’ascension aux aiguilles est rapide, autant la descente jusqu’au col de Bavella est hyper longue ! J’avais vraiment hĂąte d’arriver et de me poser avant de regarder le match. Sauf que. A Bavella, aucun camping, ni refuge. Que des hĂŽtels 
 Eh oui, pour le coup notre guide nous a induit en erreur et l’étape ne se termine pas Ă  Bavella, mais au refuge de Paliri situĂ© 5km plus loin, aprĂšs encore 200m de dĂ©nivelĂ© +. DĂ©ception, frustration ! Je sais pas si t’imagines, 5 km et 200m de dĂ©nivelĂ© en temps normal c’est rien, mais ce soir lĂ  j’avais l’impression que c’était impossible. Mais bon, quand y’a pas le choix, tu prends ton temps et tu t’arrĂȘtes toutes les 5 minutes. Surtout que la tendinite avait continuĂ© son bonhomme de chemin et mon bras Ă©tait vraiment enflĂ©. Il nous aura donc fallu une Ă©ternitĂ© pour faire 5km, mais quel plaisir d’apercevoir le refuge au milieu des pins ! Et encore plus quand nous sommes arrivĂ©s et que nous avons dĂ©couvert le cadre splendide
 et le peu de randonneurs ! Finalement la vie rĂ©serve bien des surprises et ça aurait Ă©tĂ© bien dommage de ne pas profiter de notre derniĂšre soirĂ©e dans ce petit coin de paradis. Et alors que nous pensions devoir faire une croix sur la soirĂ©e foot-biĂšres-belges les joueurs, pas la biĂšre hein nous avons dĂ©couvert la TV installĂ©e et prĂȘte pour la soirĂ©e ! C’était NoĂ«l avant l’heure ! Je te laisse imaginer l’ambiance de la soirĂ©e, quand autour de la table il y avait des Français, des Corses, des Suisses, des Allemands, des AmĂ©ricains et des Belges ! C’est aussi ça la magie du GR20, ces rencontres improbables et cette bonne ambiance entre randonneurs. Douche trĂšs froide dans un petit cabanon assez Ă©loignĂ© du refuge Site magnifique et emplacements de bivouac au top Jour 11 Ă©tape 16 Paliri-Conca en 4h Sachant que seules 4 petites heures nous sĂ©paraient de notre arrivĂ©e, nous en avons profitĂ© pour dĂ©caler un peu notre dernier rĂ©veil. A 6h30, point trop tard non plus, faudrait pas rater l’heure de l’apĂ©ro non mais ! Je ne sais pas si c’est les restes d’alcool de la veille ou juste les effets de la derniĂšre journĂ©e, mais contrairement Ă  ce que j’avais imaginĂ©, ce ne fĂ»t pas l’étape la plus sympa du GR. DĂ©jĂ , parce que le guide annonce juste 200m de dĂ©nivelĂ© alors qu’en rĂ©alitĂ© tu es plus proche des 350. Ouais, ok c’est rien par rapport aux 1900 des premiers jours mais quand mĂȘme. Psychologiquement quand t’es pas prĂȘt c’est compliquĂ©. Et puis surtout parce que la totalitĂ© de cette Ă©tape se fait en plein soleil et que les descentes sont bien raides. Bref, on pensait terminer pĂ©pĂšre, eh bien non ! Bon, le paysage est quand mĂȘme fort agrĂ©able et une petite pointe de nostalgie se fait sentir quand, au dĂ©tour du sentier, la baie de Porto Vecchio se dĂ©voile quelques centaines de mĂštres sous nos pieds. Je me souviens avoir fait une pause Ă  cet instant, en repensant Ă  ces 10 derniers jours et tous ce que nous avons vĂ©cu. Je rĂ©alise que je suis en train de rĂ©aliser mon dernier rĂȘve, je n’en reviens pas de l’avoir fait. Ça me semble tellement irrĂ©el, je sais dĂ©jĂ  qu’il me faudra quelques semaines aprĂšs notre retour pour reprendre pied. Alors que nous entamons la toute derniĂšre descente vers le village de Conca, mon bras me fait horriblement mal, mais je m’en fiche royalement. Je suis juste heureuse et fiĂšre d’avoir accompli ce challenge, et en plus en moins de temps que prĂ©vu. Le GR20 Bilan et informations pratiques ‱ Pour un sentier autant frĂ©quentĂ©, j’ai Ă©tĂ© bluffĂ©e par sa propretĂ© ! Certes, il y a quelques coins oĂč l’on trouve du papier toilette, mais d’une façon gĂ©nĂ©rale, sur la longueur du sentier et par rapport Ă  d’autres expĂ©riences ailleurs je dois dire que oui, c’est propre et c’est tant mieux ! Bravo Ă  tous les randonneurs, continuez comme ça ! ‱ Nous avons toujours Ă©tĂ© trĂšs bien reçus dans tous les refuges oĂč nous nous sommes arrĂȘtĂ©s, que ce soit pour bivouaquer ou juste se ravitailler le midi. D’ailleurs, la charcuterie Corse et les fromages fermiers sont vraiment dĂ©licieux ! ‱ Enfin, l’ambiance gĂ©nĂ©rale sur le sentier est la plupart du temps gĂ©niale. Nous avons eu l’occasion de faire de trĂšs belles rencontres, d’échanger nos bons plans sur le parcours, de discuter, de rire. En bref, un beau sentiment de partage et d’entraide. Malheureusement, nous nous sommes aussi retrouvĂ©s en prĂ©sence de randonneurs totalement irrespectueux. Notamment certains groupes qui parlaient et riaient fort auprĂšs des tentes tĂŽt le matin, ou tard le soir pour ne citer qu’un exemple. Heureusement que ce genre de comportement n’est pas reprĂ©sentatif de l’ensemble des randonneurs. ‱ Lors de ce trek j’ai pu dĂ©couvrir que j’adore les passages plus techniques. Je me suis vraiment Ă©clatĂ©e dans le nord Ă  grimper sur les rochers, utiliser les chaĂźnes 
 Avis non partagĂ© par le co-randonneur qui lui a surtout eu l’impression que certains tronçons sur le parcours avaient Ă©tĂ© créés dans le seul but d’ajouter de la difficultĂ©. Il est vrai que pendant le GR, un trail devait avoir lieu, et sans faire attention Ă  un moment donnĂ© nous avions dĂ©viĂ© du chemin du GR pour nous trouver sur le sentier du trail, 5 mĂštres plus bas 
 et bien moins casse-gueule ! ‱ De mon point de vue, les paysages du nord sont vraiment Ă©poustouflants ! Ceux au sud sont beaux, mais plus communs. ‱ Je pensais avant de partir que le nord serait bien plus difficile que le sud. Ce qui s’est avĂ©rĂ© partiellement faux. Le nord est compliquĂ© de par sa technicitĂ© mais les Ă©tapes sont relativement courtes. Alors que dans le sud les Ă©tapes sont un peu’ plus roulantes mais plus longues. J’insiste sur le un peu’ car il a encore de nombreux passages sur les crĂȘtes ainsi que des pierriers jusqu’à l’arrivĂ©e. Donc ne te rĂ©jouis pas trop vite en arrivant Ă  Vizzavona, des difficultĂ©s t’attendent encore dans le sud. Je t’invite Ă  regarder la liste de mon matĂ©riel dans mon article sur mon matĂ©riel pour le GR20 pour te faire une idĂ©e de ce que j’ai l’habitude d’emporter avec moi. Depuis le GR20 j’ai nĂ©anmoins rĂ©alisĂ© quelques ajustements, notamment un nouveau duvet, plus chaud et plus lĂ©ger le Sea to Summit Spark II et sa tempĂ©rature confort de +2°C et un matelas plus isolant et plus lĂ©ger. Billets d’avions / pĂ©age / parking 250 € Bivouac / douche / Ă©lectricitĂ© 150 € Nourriture / biĂšre 400 € MatĂ©riel 200 € tout dĂ©pend du matos que tu as dĂ©jĂ  et ce que tu comptes acheter spĂ©cialement pour le trek TopoGuide Rother 15€ Soit environ 500 € par personne pour 11 jours ! Le GR20 c’est trĂšs sympathique, mais clairement c’est un budget Ă  prĂ©voir. Et lĂ , ce n’est le budget que si tu bivouaques et que tu ne manges pas aux refuges. Auquel cas le budget sera plus proche des 700-800€ par personne. La meilleure saison pour rĂ©aliser ce trek s’étend de mi-juin Ă  fin septembre, quand les sentiers et les cols sont tous accessibles sans neige. Tu pourras lire sur de nombreux sites et blogs de privilĂ©gier la quinzaine fin juin, pour Ă©viter les grosses chaleurs de juillet, les orages d’aoĂ»t et les sources taries en septembre 
 mais forcĂ©ment, c’est par consĂ©quent la pĂ©riode oĂč tu trouveras le plus de monde sur le sentier. Nous avons rĂ©alisĂ© le trek la premiĂšre dizaine de juillet et franchement c’était top. Involontairement, cela tombait en mĂȘme temps que la coupe du monde de football, et je ne sais pas si cela a eu un effet, mais je n’ai franchement pas trouvĂ© qu’il y avait du monde sur les sentiers. A titre de comparaison, il y a bien plus de monde dans les Alpes Ă  cette pĂ©riode. Autre point important Ă  prendre en compte, les refuges ne sont gardĂ©s que de mi juin Ă  mi septembre. En dehors de ces pĂ©riodes tu pourras y accĂ©der et y loger, mais aucun ravitaillement ne sera possible et pas certaine que les douches soient accessibles non plus. Une des questions qui revient parfois, c’est de savoir s’il est possible de faire le GR20 avec un chien. D’aprĂšs la rĂ©glementation du PNRC, rien ne s’y oppose, du moment que le chien soit tenu en laisse comme gĂ©nĂ©ralement dans tous les parcs. Par contre, certains aspects sont Ă  prendre en compte ‱ des portions risquent d’ĂȘtre compliquĂ©es pour l’animal et son propriĂ©taire. Nous avons vu des personnes qui devaient parfois porter leur chien pour l’aider Ă  grimper dans les zones rocheuses trĂšs abruptes. ‱ la roche pouvant ĂȘtre abrasive par endroits, cela pourrait potentiellement faire mal aux coussinets des chiens. ‱ compte tenue de la chaleur et de l’effort, le chien devra pouvoir boire assez rĂ©guliĂšrement. En dĂ©but de saison il y a assez de sources sur le parcours, mais cela peut ĂȘtre plus problĂ©matique en fin d’étĂ©. Cela Ă©tant dit, je n’ai pas de chiens et je ne suis pas une experte en la matiĂšre, Ă  chacun de savoir l’effort que son chien peut endurer sans que cela ne soit considĂ©rĂ© comme de la maltraitance animale. Le trek le plus difficile d’Europe, mythe ou rĂ©alitĂ© ? Pour finir cet article, je vais tenter de rĂ©pondre Ă  LA question que tout le monde se pose. Est ce que le GR20 est vraiment le trek le plus difficile d’Europe ? 
 Suspense 
 Et la rĂ©ponse est
 NON. QUOIIIIII ? Le GR20 est difficile, c’est indĂ©niable. Mais si tu le fais en 16 jours avec une Ă©tape par jour et sans prendre les variantes alpines, il reste Ă  mon sens tout Ă  fait abordable aux personnes un minimum sportives et prĂ©parĂ©es, de la mĂȘme façon que n’importe quel autre GR. Sa grande difficultĂ© rĂ©side surtout dans son terrain trĂšs particulier composĂ© Ă  95% de pierriers, dans les passages techniques et les conditions climatiques qui peuvent rendre certaines sections trĂšs trĂšs dangereuses. Nous avons eu Ă©normĂ©ment de chance car, mis Ă  part le passage venteux sur les crĂȘtes et un peu de brume et de pluie alors que nous avions dĂ©jĂ  rejoins les refuges, nous avons eu des conditions climatiques vraiment parfaites. Clairement, entre 11 jours sous le soleil et 11 jours sous la pluie, le trek n’est plus du tout le mĂȘme et bien plus compliquĂ© dans le deuxiĂšme cas, physiquement et mentalement. Et c’est donc pour ĂȘtre capable d’affronter ce second scĂ©nario que la prĂ©paration en amont est importante. D’autre part, la plupart des personnes qui le font disent qu’il est trĂšs difficile car la plupart le font en moins de 16 jours, comme c’était notre cas. Et lĂ , oui, quand tu doubles les Ă©tapes tu hausses forcĂ©ment la difficultĂ© volontairement. Il faut donc comparer ce qui est comparable. Mais pour avoir rĂ©cemment fait le GR54 Tour de l’Oisans et des Ecrins dans les Alpes dans des conditions quasi similaires, j’ai personnellement trouvĂ© le GR54 plus difficile que le GR20. Il suffit juste de prendre les chiffres. Le GR20 c’est 180km et 11 000m de dĂ©nivelĂ© positif sur 16 Ă©tapes, alors que le GR54 c’est aussi 180km mais 12 000m de dĂ©nivelĂ© positif sur 13 Ă©tapes seulement ! En gros, le GR54 c’est plus de kilomĂštres et plus de dĂ©nivelĂ© par jour sur une moins longue pĂ©riode, Ă  une altitude moyenne plus Ă©levĂ©e et des passages trĂšs techniques lĂ  aussi mĂȘme si le sentier est trĂšs roulant comparĂ© au GR20. Il n’y a quasiment pas de pierriers mais de trĂšs longues descentes bien raides. Bref, le GR54 est juste un exemple puisque c’est le seul que je peux te donner pour le moment, mais je pense que d’autres treks tels que le Via Alpina oĂč mĂȘme des sections de la Haute RandonnĂ©e PyrĂ©nĂ©enne HRP pour ne citer qu’eux, sont tout autant compliquĂ©s que le GR20. Par contre, mĂȘme si les paysages des Alpes sont magnifiques, Ă  mon avis la Corse a une grosse longueur d’avance. Et c’est sĂ»rement lĂ  toute la diffĂ©rence avec les autres treks. Si c’était Ă  refaire ? Il n’y a pas de “si” qui tienne. Je le referai ! Quand, je ne sais pas, mais un jour c’est certain. Soit sur 15 jours en ajoutant quelques sommets et d’autres variantes que nous n’avons pas pu faire par manque de temps ou d’énergie, soit sur 8 jours ou moins en mode fast-hiking’. Je privilĂ©gierais le sens Nord Sud encore une fois pour passer les zones les plus techniques le plus rapidement en Ă©tant encore en forme. Je ne planifierais pas mes Ă©tapes. L’expĂ©rience m’a montrĂ©e que tout peut arriver. Le plus simple quand on souhaite doubler des Ă©tapes c’est de le faire le plus rapidement, dĂšs que l’occasion se prĂ©sente, mĂȘme sur les premiĂšres Ă©tapes si tu termines avant 12h et que tu es encore en forme. Enfin, je referais le mĂȘme style de prĂ©paration physique, voire encore plus poussĂ©e si je voulais le terminer plus rapidement. Si tu souhaites avoir un autre aperçu de ce trek, je t’invite Ă  lire le trĂšs bon livre de Cristina Noacco “Corse, La grande traversĂ©e” Autres idĂ©es de treks Épingle-moi sur Pinterest ! Par nature, les tortues Ă  oreilles rouges sont des animaux d'eau douce qui passent la majeure partie de leur vie dans l'eau. En milieu aquatique, cet animal nage, se nourrit, comble tous les besoins naturels nĂ©cessaires et dort mĂȘme. Mais combien de temps une tortue Ă  oreilles rouges peut-elle vivre sans eau ?Noter! Les jeunes individus sont pour la plupart dans l'eau tout le temps, ils peuvent rapidement mourir sans elle. Mais dĂ©jĂ  une tortue Ă  oreilles rouges adulte peut vivre sans eau pendant environ 48 Ă  72 heuresMais pendant la majeure partie de sa vie, ce reptile doit toujours ĂȘtre dans l'eau, pour cette raison, si vous dĂ©cidez de le dĂ©marrer Ă  la maison, assurez-vous de bien prĂ©parer l'aquaterrarium pour qu'un amphibien vive, il est recommandĂ© d'utiliser un grand aquarium. Son volume doit ĂȘtre d'au moins 150-20 litres. Ce volume doit ĂȘtre utilisĂ© mĂȘme si vous avez achetĂ© un petit spĂ©cimen ;cela vaut la peine de considĂ©rer l'indicateur de la colonne d'eau. Son niveau doit ĂȘtre d'au moins 45-55 cm;respect des indicateurs de tempĂ©rature optimaux. L'indicateur de tempĂ©rature doit ĂȘtre de + 23-28 degrĂ©s C. À basse tempĂ©rature, le comportement de la tortue sera lent, inactif, passif, son appĂ©tit disparaĂźtra complĂštement. De plus, le reptile peut attraper rapidement un rhume ;Il est recommandĂ© de garder la tortue Ă  oreilles rouges dans de l'eau propre, elle doit donc ĂȘtre changĂ©e rĂ©guliĂšrement - environ 40% du total. Ceci est Ă©galement nĂ©cessaire en raison du fait que ces types d'eau douce sont de la boue attention particuliĂšre doit ĂȘtre portĂ©e Ă  la superficie du terrain, sa prĂ©sence dans l'aquarium est une condition prĂ©alable. Cette zone peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©e indĂ©pendamment ou toute prĂȘte dans une animalerie, d'autant plus que dans ces lieux sont vendues une variĂ©tĂ© de figurines, de maisons, de pierres artificielles de deux voire trois de la disposition des sushis dans un terrarium, plusieurs conditions importantes doivent ĂȘtre prises en compte La zone de terrain doit ĂȘtre choisie antidĂ©rapante, elle doit ĂȘtre lĂ©gĂšrement en pente. L'animal doit monter et descendre avec aisance;La taille de l'Ăźle de terre doit reprĂ©senter 30% du volume total de l'aquarium, tandis qu'elle doit descendre dans la colonne d'eau ;Si vous le souhaitez, pour un maximum de confort, vous pouvez Ă©quiper un Ăźlot Ă  deux niveaux. Une partie peut ĂȘtre sous l'eau, tandis que l'autre dĂ©passe de son placez pas une lampe ultraviolette trop bas sur la zone terrestre, sinon cela peut entraĂźner des brĂ»lures et une surchauffe de l'animal d'eau douce. Il est conseillĂ© de protĂ©ger la lampe de diverses vapeurs n'est pas nĂ©cessaire de couvrir le terrain avec du gravier, de la terre, de la terre. Le fait est que la tortue commencera Ă  manger le monticule, ce qui entraĂźnera une perturbation du systĂšme est recommandĂ© de placer une pompe Ă©lectrique avec un filtre dans l'aquarium. Cet appareil sera capable de purifier l'eau de divers polluants et particules, et permettra Ă©galement de maintenir l'Ă©tat normal du milieu aquatique. Mais mĂȘme avec cet appareil, des changements d'eau rĂ©guliers seront toujours faire si la tortue est restĂ©e longtemps sans eauInspecter. Prenez-le dans vos mains et examinez-le soigneusement pour des coupures, si la tortue est la saletĂ©, la poussiĂšre, les cheveux, la laine de la tortue. La tortue pourrait ramper sous les meubles ou dans les endroits les plus isolĂ©s et attacher des dĂ©bris Ă  elle-mĂȘme. Avant de plonger la tortue dans l'eau, vous devez en retirer toute la la tortue dans l' la lampe chauffante. La tempĂ©rature dans la piĂšce peut ĂȘtre bien infĂ©rieure Ă  la tempĂ©rature dans l'aquarium. À des tempĂ©ratures infĂ©rieures Ă  23 degrĂ©s, la tortue deviendra lĂ©thargique, pourra hiberner et attraper un Rester longtemps sur terre sans eau est stressant pour la tortue. Elle a besoin d'ĂȘtre nourrie pour l'aider Ă  reprendre des forces et Ă  faire face au d'une tortue qui est restĂ©e longtemps sans eauLorsque la tortue aquatique est trouvĂ©e, vous devez l'examiner attentivement. Sans eau, les problĂšmes de peau peuvent commencer. La peau se dessĂšche, commence Ă  peler et Ă  se dĂ©coller. Selon combien la tortue a Ă©tĂ© sans eau, des fissures peuvent apparaĂźtre immĂ©diatement ou au fil du temps, ce qui prendra beaucoup de temps Ă  guĂ©rir. Par consĂ©quent, le reptile doit ĂȘtre inspectĂ© problĂšmes de carapace peuvent Ă©galement survenir. Avec un long voyage et sans eau, la coquille commence Ă  s'exfolier. Il peut y avoir une infection ou un champignon dans les faisceaux. Les infections entraĂźnent une inflammation et diverses que la tortue Ă  oreilles rouges soit active et en bonne santĂ©, elle ne doit pas rester longtemps sans eau. S'il arrivait qu'elle s'Ă©chappe, il faut la retrouver au plus vite et la remettre dans l' distinguer une femelle d'un mĂąle tortue Ă  oreilles rouges ?ESPÈCE DE SERPENT CARACTÉRISTIQUES ET STRUCTURE, MODE DE VIESERPENT GYURZA TYPES, DESCRIPTION, PHOTOS, NUTRITION, POISON, REPRODUCTION, CARACTÉRISTIQUESTREMBLE CAUCASIEN DESCRIPTION ET PHOTOSGEKCOON COURANTS ACCUEIL CONTENU, PHOTOS

combien de temps une tortue peut rester sur le dos