Cest sans doute pour commĂ©morer son accession au titre de premier prĂ©sident Ă mortier au parlement de Provence, le 30 juin 1710, que Cardin Le Bret (1675-1734), seigneur de Flacourt, commande Ă Rigaud un second portrait en buste, aprĂšs celui peint deux ans plus tĂŽt Ă lâoccasion de son mariage. Le dĂ©cĂšs de son pĂšre, justement en
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RépondreCharles De Beaumont La solution à ce puzzle est constituéÚ de 5 lettres et commence par la lettre A Les solutions pour CHARLES DE BEAUMONT de mots fléchés et mots croisés.
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MPFZG7K. Hippolyte Taine 1828-1893 fut un des fondateurs de lâĂcole libre des sciences politiques de la rue Saint-Guillaume, devenue lâInstitut dâĂ©tudes politiques IEP aprĂšs sa nationalisation en 1945. Dans les annĂ©es 90, Jean-François Revel a Ă©voquĂ© la figure de Taine dans un article sur les libĂ©raux français, paru dans la Revue Commentaire. Il Ă©crivait Un des libĂ©raux français les plus mĂ©connus aujourdâhui ⊠est Hippolyte Taine. Ses Origines de la France contemporaine sont un livre qui a Ă©tĂ© en pratique Ă©liminĂ© du panorama historique moderne par le travail de calomnie quâavec une ardente malhonnĂȘtetĂ© intellectuelle a menĂ© contre lui lâĂ©cole jacobino-bolchevique dâhistoire de la RĂ©volution française, principalement Alphonse Aulard et Albert Mathiez, relayĂ©s Ă la gĂ©nĂ©ration suivante par divers suiveurs. » En effet, Taine fut trop libĂ©ral pour la gauche mais aussi trop intellectuel pour la droite. Il fut honni par les amis de Maurras comme par ceux de Marx. Et Revel ajoutait Dans la derniĂšre partie des Origines, intitulĂ©e Le RĂ©gime moderne » et consacrĂ©e aux institutions françaises telles quâelles ont Ă©tĂ© façonnĂ©es par le systĂšme impĂ©rial, on trouve des passages Livre deuxiĂšme qui, quoique parus en 1884, pourraient ĂȘtre signĂ©s de Ludwig von Mises, Friedrich Hayek ou Milton Friedman, tant lâanalyse de lâhypertrophie Ă©tatique y prĂ©figure les critiques actuelles. » Voici donc les principaux extraits dont parle Revel. Ils montrent comment, par chacune des contraintes quâil met en place, lâĂtat empiĂšte sur le domaine de la personne. rĂ©duisant le cercle dâinitiatives spontanĂ©es ou dâactions indĂ©pendantes qui est sa vie propre. Les Origines de la France contemporaine Tome 1, Livre 2, chapitre 2 Par Hippolyte Taine I. Service principal rendu par la puissance publique II. Effet gĂ©nĂ©ral de lâingĂ©rence de la puissance publique III. Ses empiĂ©tements sont des attentats contre les personnes et les propriĂ©tĂ©s. IV. Elle est un substitut mauvais ou mĂ©diocre V. Appauvrissement et dĂ©gradation du corps social I. Service principal rendu par la puissance publique Quel est le service que la puissance publique rend au public? â Il en est un principal, la protection de la communautĂ© contre lâĂ©tranger, et des particuliers les uns contre les autres. â Ăvidemment, pour rendre ce service, il lui faut, dans tous les cas, les outils indispensables, Ă savoir une diplomatie, une armĂ©e, une flotte et des arsenaux, des tribunaux civils et criminels, des prisons, une gendarmerie et une police, des impĂŽts et des percepteurs, une hiĂ©rarchie dâagents et de surveillants locaux, qui, chacun Ă sa place et dans son emploi, concourent tous Ă produire lâeffet requis. â Ăvidemment encore, pour appliquer ces outils, il lui faut, selon les cas, telle ou telle constitution, tel ou tel degrĂ© de ressort et dâĂ©nergie selon lâespĂšce et la gravitĂ© du pĂ©ril extĂ©rieur ou intĂ©rieur, il convient quâelle soit divisĂ©e ou concentrĂ©e, pourvue ou affranchie de contrĂŽle, libĂ©rale ou autoritaire. Contre son mĂ©canisme, quel quâil soit, il nây a pas lieu de sâindigner dâavance. A proprement parler, elle est un grand engin dans la communautĂ© humaine, comme telle machine industrielle dans une usine, comme tel appareil organique dans le corps vivant. Si lâĆuvre ne peut ĂȘtre faite que par lâengin, acceptons lâengin et sa structure qui veut la fin veut les moyens. Tout ce que nous pouvons demander, câest que les moyens soient adaptĂ©s Ă la fin, en dâautres termes, que les myriades de piĂšces, grandes ou petites, locales ou centrales, soient dĂ©terminĂ©es, ajustĂ©es et coordonnĂ©es en vue de lâeffet final et total auquel elles coopĂšrent de prĂšs ou de loin. Mais, simple ou composĂ©, tout engin qui travaille est assujetti Ă une condition plus il devient propre Ă une besogne distincte, plus il devient impropre aux autres; Ă mesure que sa perfection croĂźt, son emploi se restreint. â Partant, si lâon a deux instruments distincts appliquĂ©s Ă deux besognes distinctes, plus ils deviennent parfaits chacun dans son genre, plus leurs domaines se circonscrivent et sâopposent Ă mesure que chacun dâeux devient plus capable de remplir son emploi, il devient plus incapable de remplir lâemploi de lâautre; Ă la fin, ils ne peuvent plus se supplĂ©er; et cela est vrai, quel que soit lâinstrument mĂ©canique, physiologique ou social. â Au plus bas degrĂ© de lâindustrie humaine, le sauvage nâa quâun outil avec son caillou tranchant ou pointu, il tue, il brise, il fend, il perce, il scie, il dĂ©pĂšce; le mĂȘme instrument suffit, aux services les plus divers. Ensuite viennent la lance, la hache, le marteau, le poinçon, la scie, le couteau, chacun dâeux plus adaptĂ© Ă un service distinct et moins efficace hors de cet office on scie mal avec un couteau, et lâon coupe mal avec une scie. Plus tard apparaissent les engins trĂšs perfectionnĂ©s et tout Ă fait spĂ©ciaux, la machine Ă coudre et la machine Ă Ă©crire impossible de coudre avec la machine Ă Ă©crire, ou dâĂ©crire avec la machine Ă coudre. â Pareillement, au plus bas de lâĂ©chelle organique, quand lâanimal nâest quâune gelĂ©e homogĂšne, informe et coulante, toutes ses parties sont Ă©galement propres Ă toutes les fonctions indiffĂ©remment et par toutes les cellules de son corps, lâamibe peut marcher, saisir, avaler, digĂ©rer, respirer, faire circuler ses liquides, expulser ses dĂ©chets et reproduire son espĂšce. Un peu plus haut, dans le polype dâeau douce, le sac intĂ©rieur qui digĂšre et la peau extĂ©rieure qui sert dâenveloppe peuvent encore, Ă la rigueur, Ă©changer leurs fonctions si lâon retourne lâanimal comme un gant, il continue Ă vivre; devenue interne, sa peau fait lâoffice dâestomac; devenu externe, son sac digestif fait lâoffice dâenveloppe. Mais, plus on monte, plus les organes, compliquĂ©s par la division et la subdivision du travail, divergent, chacun de son cĂŽtĂ©, et rĂ©pugnent Ă se remplacer lâun lâautre chez un mammifĂšre, le cĆur nâest plus bon quâĂ pousser le sang, et le poumon quâĂ rendre au sang de lâoxygĂšne; impossible Ă lâun dâeux de faire lâouvrage de lâautre; entre les deux domaines, la structure trop particuliĂšre du premier et la structure trop particuliĂšre du second interposent une double barriĂšre infranchissable.â Pareillement enfin, au plus bas de lâĂ©chelle sociale, plus bas que les Andamans et les FuĂ©giens, on entrevoit une humanitĂ© infĂ©rieure, oĂč la sociĂ©tĂ© nâest quâun troupeau; Ă lâintĂ©rieur du troupeau, point dâassociations distinctes en vue de buts distincts; il nây a pas mĂȘme de famille, au moins permanente; nul engagement mutuel du mĂąle et de la femelle, rien que la rencontre des sexes. Par degrĂ©s, dans cet amas dâindividus tous Ă©gaux et semblables, des groupes partiels sâĂ©bauchent, se forment et se sĂ©parent on voit apparaĂźtre des parentĂ©s de plus en plus prĂ©cises, des mĂ©nages de plus en plus fermĂ©s, des foyers de plus en plus hĂ©rĂ©ditaires, des Ă©quipes de pĂȘche, de chasse ou de guerre, de petits ateliers de travail; si le peuple est conquĂ©rant, il sâĂ©tablit des castes. A la fin, dans le corps social Ă©largi et profondĂ©ment organisĂ©, on trouve des communes, des provinces, des Ă©glises, des hĂŽpitaux, des Ă©coles, des corporations et des compagnies de toute espĂšce et grandeur, temporaires ou permanentes, volontaires ou involontaires, câest-Ă -dire une multitude dâengins sociaux construits avec des personnes humaines, qui, par intĂ©rĂȘt personnel, contrainte et habitude, ou par inclination, conscience et gĂ©nĂ©rositĂ©, coopĂšrent, dâaprĂšs un statut exprimĂ© ou tacite, pour effectuer, dans lâordre matĂ©riel ou spirituel, telle ou telle Ćuvre dĂ©terminĂ©e en France, aujourdâhui, nous comptons, outre lâĂtat, quatre-vingt-six dĂ©partements, trente-six mille communes, quatre Ăglises, quarante mille paroisses, sept ou huit millions de familles, des millions dâateliers agricoles, industriels ou commerciaux, des instituts de science et dâart par centaines, des Ă©tablissements de charitĂ© et dâĂ©ducation par milliers, des sociĂ©tĂ©s de bienfaisance, de secours mutuels, dâaffaires ou de plaisirs par centaines de mille, bref, dâinnombrables associations de toute espĂšce, dont chacune a son objet propre, et, comme un outil ou un organe, exĂ©cute un travail distinct. Or, en cette qualitĂ© dâoutil ou dâorgane, elle est soumise Ă la loi commune plus elle excelle dans un rĂŽle, plus elle est mĂ©diocre ou mauvaise dans les autres rĂŽles; sa compĂ©tence spĂ©ciale fait son incompĂ©tence gĂ©nĂ©rale. Câest pourquoi, chez un peuple civilisĂ©, aucune dâelles ne peut bien supplĂ©er aucune des autres. TrĂšs probablement, une acadĂ©mie de peinture qui serait aussi une banque exposerait de trĂšs mauvais tableaux et escompterait de trĂšs mauvais billets. Selon toute vraisemblance, une compagnie du gaz qui serait en mĂŽme temps une sociĂ©tĂ© dâĂ©ducation enfantine Ă©lĂšverait mal les enfants et Ă©clairerait mal les rues.[1] » â Câest quâun instrument, quel quâil soit, outil mĂ©canique, organe physiologique, association humaine, est toujours un systĂšme de piĂšces dont les effets convergent vers une fin; peu importe que les piĂšces soient des morceaux de bois et de mĂ©tal, comme dans lâoutil, des cellules et des fibres, comme dans lâorgane, des intelligences et des Ăąmes, comme dans lâassociation; lâessentiel est la convergence de leurs effets; car, plus ces effets sont convergents, plus lâinstrument est capable dâatteindre une fin. Mais, par cette convergence, il est tout entier orientĂ© dans une direction, ce qui lâexclut des autres il ne peut pas opĂ©rer Ă la fois dans deux sens diffĂ©rents; impossible dâaller Ă droite et, en mĂȘme temps, dâaller Ă gauche. Si quelque instrument social, construit en vue dâun service, entreprend de faire par surcroĂźt le service dâun autre, il fera ma4 son office propre et son office usurpĂ©. Des deux Ćuvres quâil exĂ©cute, la premiĂšre nuit Ă la seconde et la seconde Ă la premiĂšre. Ordinairement, il finit par sacrifier lâune Ă lâautre, et, le plus souvent, il les manque toutes les deux. II. Effet gĂ©nĂ©ral de lâingĂ©rence de la puissance publique Suivons les effets de cette loi, lorsque câest la puissance publique qui, par delĂ sa tĂąche principale et premiĂšre, entreprend une tache diffĂ©rente et se substitue aux autres corps pour faire leur service, lorsque lâĂtat, non content de protĂ©ger la communautĂ© et les particuliers contre lâagression extĂ©rieure ou intĂ©rieure, se charge par surcroĂźt de gouverner le culte, lâĂ©ducation ou la bienfaisance, de diriger les sciences ou les beaux-arts, de conduire lâĆuvre industrielle, agricole, commerciale, municipale, provinciale ou domestique. â Sans doute, auprĂšs de tous les corps autres que lui-mĂȘme, il peut intervenir; câest son droit et aussi son devoir; il y est tenu par son office mĂŽme, en sa qualitĂ© de dĂ©fenseur des personnes et des propriĂ©tĂ©s, pour rĂ©primer, Ă lâintĂ©rieur du corps, la spoliation et lâoppression, pour y faire observer le statut, pour y maintenir chaque membre dans ses droits fixĂ©s par le statut, pour y juger, dâaprĂšs ce statut, les conflits qui peuvent sâĂ©lever entre les administrateurs et les administrĂ©s, entre le gĂ©rant et les actionnaires, entre les desservants et les desservis, entre les fondateurs morts et leurs successeurs vivants. A cet effet, il leur prĂȘte ses tribunaux, ses huissiers et ses gendarmes, et il ne les prĂȘte quâĂ bon escient, aprĂšs avoir examinĂ© et adoptĂ© le statut. Cela aussi est une obligation de son office son mandat lâempĂȘche de mettre la puissance publique au service dâune entreprise de spoliation ou dâoppression; il lui est interdit dâautoriser un contrat de prostitution ou dâesclavage, Ă plus forte raison une sociĂ©tĂ© de brigandage ou dâinsurrection, une ligue armĂ©e ou prĂȘte Ă sâarmer contre la communautĂ©, contre une portion de la communautĂ©, contre lui-mĂȘme. Mais, entre cette intervention lĂ©gitime par laquelle il maintient des droits et lâingĂ©rence abusive par laquelle il usurpe des droits, la limite est visible, et il franchit cette limite lorsque, Ă son emploi de justicier ajoutant un second office, il rĂ©git ou il dĂ©fraie un autre corps.[2] En ce cas, deux sĂ©ries dâabus se dĂ©roulent dâune part, lâĂtat fait le contraire de son premier office ; dâautre part, il sâacquitte mal de son emploi surajoutĂ©. III. Ses empiĂ©tements sont des attentats contre les personnes et les propriĂ©tĂ©s. Car dâabord, pour rĂ©gir un autre corps, par exemple lâĂglise, tantĂŽt il nomme les chefs ecclĂ©siastiques, comme sous lâancienne monarchie, aprĂšs lâabolition de la Pragmatique Sanction, par le concordat de 1516; tantĂŽt, comme lâAssemblĂ©e nationale en 1791, sans nommer les chefs, il invente une nouvelle façon de les nommer; en dâautres termes, il impose Ă lâĂglise une discipline nouvelle, contraire Ă son esprit ou mĂȘme Ă ses dogmes. Parfois mĂȘme, poussant plus loin, il rĂ©duit les corps Ă nâĂȘtre que des branches de sa propre administration et transforme leurs chefs en fonctionnaires rĂ©vocables, dont il commande et conduit tous les actes tels, sous lâEmpire et la Restauration, le maire et les conseillers dans la commune, les professeurs et proviseurs dans lâUniversitĂ©. Encore un pas, et lâinvasion sâachĂšve naturellement, quand il entreprend un nouveau service, il est tentĂ©, par ambition ou prĂ©caution, par prĂ©jugĂ© ou thĂ©orie, de sâen rĂ©server ou dâen dĂ©lĂ©guer le monopole; avant 1789, il y en avait un au profit de lâĂglise catholique par lâinterdiction des autres cultes, et il y en avait un au coĂ»t de chaque communautĂ© dâarts et de mĂ©tiers par lâinterdiction du travail libre; aprĂšs 1800, il y en eut un au profit de lâUniversitĂ©, par les entraves et gĂȘnes de toute espĂšce imposĂ©es Ă lâouverture et Ă la tenue des Ă©coles privĂ©es. â Or, par chacune de ces contraintes, lâĂtat empiĂšte sur le domaine de la personne. Plus il Ă©tend ses empiĂ©tements, plus il ronge et rĂ©duit le cercle dâinitiatives spontanĂ©es ou dâactions indĂ©pendantes qui est la vie propre de lâindividu. Si, conformĂ©ment au programme jacobin, il pousse Ă bout ses ingĂ©rences,[3] il absorbe en soi toutes les vies individuelles dĂ©sormais il nây a plus dans la communautĂ© que des automates manĆuvres dâen haut, des rĂ©sidus infiniment petits de lâhomme, des Ăąmes mutilĂ©es, passives et, pour ainsi dire, mortes. InstituĂ© pour prĂ©server les personnes, lâĂtal les a toutes anĂ©anties. MĂȘme effet Ă lâendroit des propriĂ©tĂ©s, sâil dĂ©fraie es autres corps. Car, pour les dĂ©frayer, il nâa dâautre argent que celui des contribuables; en consĂ©quence, par la main de ses percepteurs, il leur prend cet argent dans leur poche. Bon grĂ© mal grĂ©, tous indistinctement, ils payent une taxe supplĂ©mentaire pour un service supplĂ©mentaire, mĂȘme quand ce service ne leur profite pas ou leur rĂ©pugne. Si je suis catholique dans un Ătat protestant ou protestant dans un Ătat catholique, je paie pour une religion qui me semble fausse et pour une Ăglise qui me semble malfaisante. Si je suis sceptique et libre penseur, indiffĂ©rent ou hostile aux religions positives, aujourdâhui, en France, je paie pour alimenter quatre cultes qui me semblent inutiles ou nuisibles; si je suis provincial ou paysan, je paie pour entretenir lâOpĂ©ra, oĂč je nâirai jamais, SĂšvres et les Gobelins, dont je ne verrai jamais une tapisserie ou un vase. â En temps de calme, lâextorsion se dĂ©guise; mais, en temps de troubles, elle sâĂ©tale Ă nu. Sous le gouvernement rĂ©volutionnaire, des bandes de percepteurs Ă piques sâabattaient sur les villages et y faisaient des razzias comme en pays conquis[4] saisi Ă la gorge et maintenu avec accompagnement de bourrades, le cultivateur voyait enlever les grains de son grenier, les bestiaux de son Ă©table; tout cela prenait lestement le chemin de la ville », et autour de Paris, sur un rayon de quarante lieues, les dĂ©partements jeĂ»naient pour nourrir la capitale. Avec des formes plus douces, câest une exaction pareille qui sâaccomplit sous un gouvernement rĂ©gulier, lorsque lâĂtat, par la main dâun percepteur dĂ©cent, en redingote, puise dans nos bourses un Ă©cu de trop pour un office qui nâest pas de son ressort. Si, comme lâĂtat jacobin, il sâarroge tous les offices, il vide la bourse jusquâau fond institue pour prĂ©server les propriĂ©tĂ©s, il les confisque toutes. Ainsi, Ă lâendroit des propriĂ©tĂ©s comme Ă lâendroit des personnes, quand la puissance publique se propose un autre objet que leur garde, non seulement elle outrepasse son mandat, mais elle agit au rebours de son mandat. IV. Elle est un substitut mauvais ou mĂ©diocre ConsidĂ©rons maintenant lâautre sĂ©rie dâabus et la façon dont lâĂtat fait le service des corps quâil a supplantĂ©s. â En premier lieu, il y a des chances pour que, tĂŽt ou tard, il sây dĂ©robe; car ce nouveau service est plus ou moins coĂ»teux, et, tĂŽt ou tard, lui semble trop coĂ»teux. â Sans doute, il a promis de le dĂ©frayer; parfois mĂȘme, comme la Constituante et la LĂ©gislative, ayant confisquĂ© les revenus qui lâalimentaient, il en doit lâĂ©quivalent; il est tenu, par contrat, de supplĂ©er aux sources locales ou spĂ©ciales quâil sâest appropriĂ©es ou quâil a taries, de fournir en Ă©change une prise dâeau sur le grand rĂ©servoir central, qui est le TrĂ©sor public. âMais, si, dans ce rĂ©servoir, les eaux baissent, si lâimpĂŽt arriĂ©rĂ© nây dĂ©verse plus rĂ©guliĂšrement son afflux, si la guerre y ouvre une large brĂšche, si la prodigalitĂ© et lâincapacitĂ© des gouvernants y multiplient les lĂ©zardes et les fuites, il ne sây trouve plus dâargent pour les services accessoires et secondaires; lâĂtat, qui sâen est chargĂ©, sâen dispense on a vu, sous la Convention et sous le Directoire, comment, ayant pris les biens de tous les corps, provinces, communes, instituts dâĂ©ducation, dâart et de science, Ă©glises, hospices et hĂŽpitaux, il sâest acquittĂ© de leur office; comment, aprĂšs avoir Ă©tĂ© spoliateur et voleur, il est devenu insolvable et sâest dĂ©clarĂ© failli ; comment son usurpation et sa banqueroute ont ruinĂ©, puis anĂ©anti tous les autres services; comment, par le double effet de son ingĂ©rence et de sa dĂ©sertion, il a dĂ©truit en France lâĂ©ducation, le culte et la bienfaisance; pourquoi, dans les villes, les rues nâĂ©taient plus balayĂ©es ni Ă©clairĂ©es; pourquoi, dans les dĂ©partements, les routes se dĂ©fonçaient et les digues sâeffondraient; pourquoi les Ă©coles Ă©taient vides ou fermĂ©es; pourquoi, dans lâhospice et lâhĂŽpital, les enfants trouvĂ©s mouraient, faute de lait, les infirmes faute de vĂȘtements ou de viande, les malades faute de bouillon, de mĂ©dicaments et de lits.[5] En second lieu, mĂȘme quand lâĂtat respecte ou fournit la dotation du service, par cela seul quâil le rĂ©git, il y a des chances pour quâil le pervertisse. â Presque toujours, lorsque les gouvernants mettent la main sur une institution, câest pour lâexploiter Ă leur profit et Ă son dĂ©triment ils y font prĂ©valoir leurs intĂ©rĂȘts ou leurs thĂ©ories; ils y importent leurs passions; ils y dĂ©forment quelque piĂšce ou rouage essentiel; ils en faussent le jeu, ils en dĂ©traquent le mĂ©canisme; ils font dâelle un engin fiscal, Ă©lectoral ou doctrinal, un instrument de rĂšgne ou de secte. â Tel, au XVIIIe siĂšcle, lâĂ©tat-major ecclĂ©siastique que lâon connaĂźt[6], Ă©vĂȘques de cour, abbĂ©s de salon, appliquĂ©s dâen haut sur leur diocĂšse ou sur leur abbaye, non rĂ©sidents, prĂ©posĂ©s Ă un ministĂšre quâils nâexercent pas, largement reniĂ©s pour ĂȘtre oisifs, parasites de lâĂglise, outre cela, mondains, galants, souvent incrĂ©dules, Ă©tranges conducteurs dâun clergĂ© chrĂ©tien, et quâon dirait choisis exprĂšs pour Ă©branler la foi catholique chez leurs ouailles et la discipline monastique dans leurs couvents. â Tel, en 1791[7], le nouveau clergĂ© constitutionnel, intrus, schismatique, superposĂ© Ă la majoritĂ© orthodoxe, pour lui dire une messe quâelle juge sacrilĂšge, et pour lui administrer des sacrements dont elle ne veut pas. En dernier lieu, mĂȘme quand les gouvernants ne subordonnent pas les intĂ©rĂȘts de lâinstitution Ă leurs passions, Ă leurs thĂ©ories, Ă leurs intĂ©rĂȘts propres, mĂȘme quand ils Ă©vitent de la mutiler et de la dĂ©naturer, mĂȘme quand ils remplissent loyalement et de leur mieux le mandat surĂ©rogatoire quâils se sont adjugĂ©, infailliblement ils le remplissent mal, plus mal que les corps spontanĂ©s et spĂ©ciaux auxquels ils se substituent; car la structure de ces corps et la structure de lâĂtat sont diffĂ©rentes. â Unique en son genre, ayant seul lâĂ©pĂ©e, agissant de haut et de loin, par autoritĂ© et contrainte, lâĂtat opĂšre Ă la fois sur le territoire entier, par des lois uniformes, par des rĂšglements impĂ©ratifs et circonstanciĂ©s, par une hiĂ©rarchie de fonctionnaires obĂ©issants quâil maintient sous des consignes strictes. Câest pourquoi il est impropre aux besognes qui, pour ĂȘtre bien faites, exigent des ressorts et des procĂ©dĂ©s dâune autre espĂšce. Son ressort, tout extĂ©rieur, est insuffisant et trop faible pour soutenir et pousser les Ćuvres qui ont besoin dâun moteur interne, comme lâintĂ©rĂȘt privĂ©, le patriotisme local, les affections de famille, la curiositĂ© scientifique, lâinstinct de charitĂ©, la foi religieuse. Son procĂ©dĂ©, tout mĂ©canique, est trop rigide et trop bornĂ© pour faire marcher les entreprises qui demandent Ă lâentrepreneur le tact alerte et sĂ»r, la souplesse de main, lâapprĂ©ciation des circonstances, lâadaptation changeante des moyens au but, lâinvention continue, lâinitiative et lâindĂ©pendance. Parlant, lâĂtat est mauvais chef de famille, mauvais industriel, agriculteur et commerçant, mauvais distributeur de travail et des subsistances, mauvais rĂ©gulateur de la production, des Ă©changes et de la consommation, mĂ©diocre administrateur de la province et de la commune, philanthrope sans discernement, directeur incompĂ©tent des beaux-arts, de la science, de lâenseignement et des cultes[8]. En tous ces offices, son action est lente ou maladroite, routiniĂšre ou cassante, toujours dispendieuse, de petit effet et de faible rendement, toujours Ă cĂŽtĂ© et au delĂ des besoins rĂ©els quâelle prĂ©tend satisfaire. Câest quâelle part de trop haut et sâĂ©tend sur un cercle trop vaste. Transmise par la filiĂšre hiĂ©rarchique, elle sây attarde dans les formalitĂ©s et sây empĂȘtre dans les paperasses. ArrivĂ©e au terme et sur place, elle applique sur tous les terrains le mĂȘme programme, un programme fabriquĂ© dâavance, dans le cabinet, tout dâune piĂšce, sans le tĂątonnement expĂ©rimental et les raccords nĂ©cessaires, un programme qui, calculĂ© par Ă peu prĂšs, sur la moyenne et pour lâordinaire, ne convient exactement Ă aucun cas particulier, un programme qui impose aux choses son uniformitĂ© fixe, au lieu de sâajuster Ă la diversitĂ© et Ă la mobilitĂ© des choses, sorte dâhabit-modĂšle, dâĂ©toffe et de coupe obligatoires, que le gouvernement expĂ©die du centre aux provinces, par milliers dâexemplaires, pour ĂȘtre endossĂ© et portĂ©, bon grĂ© mal grĂ©, par toutes les tailles, en toute saison. V. Appauvrissement et dĂ©gradation du corps social Bien pis, non seulement dans ce domaine qui nâest pas le sien, lâĂtat travaille mal, grossiĂšrement, avec plus de frais et moins de fruit que les corps spontanĂ©s, mais encore, par le monopole lĂ©gal quâil sâattribue ou par la concurrence accablante quâil exerce, il tue ces corps naturels, ou il les paralyse, ou il les empĂȘche de naĂźtre; et voilĂ autant dâorganes prĂ©cieux qui, rĂ©sorbĂ©s, atrophiĂ©s, ou avortĂ©s, manquent dĂ©sormais au corps total. â Bien pis, encore si ce rĂ©gime dure et continue Ă les Ă©craser, la communautĂ© humaine perd la facultĂ© de les reproduire extirpĂ©s Ă fond, ils ne repoussent plus; leur germe lui-mĂȘme a pĂ©ri. Les individus ne savent plus sâassocier entre eux, coopĂ©rer de leur propre mouvement, par leur seule initiative, sans contrainte extĂ©rieure et supĂ©rieure, avec ensemble et longtemps, en vue dâun but dĂ©fini, selon des formes rĂ©guliĂšres, sous des chefs librement choisis, franchement acceptĂ©s et fidĂšlement suivis. Confiance mutuelle, respect de la loi, loyautĂ©, subordination volontaire, prĂ©voyance, modĂ©ration, patience, persĂ©vĂ©rance, bon sens pratique, toutes les dispositions de cĆur et dâesprit sans lesquelles aucune association nâest efficace ou mĂȘme viable, se sont amorties en eux, faute dâexercice. DĂ©sormais la collaboration spontanĂ©e, pacifique et fructueuse, telle quâon la rencontre chez les peuples sains, est hors de leur portĂ©e; ils sont atteints dâincapacitĂ© sociale, et, par suite, dâincapacitĂ© politique. â De fait, ils ne choisissent plus leur constitution, ni leurs gouvernants ils les subissent, bon grĂ©, mal grĂ©, tels que lâaccident ou lâusurpation les leur donne; chez eux, la puissance publique appartient au parti, Ă la faction, Ă lâindividu assez osĂ©, assez violent pour la prendre et la garder de force, pour lâexploiter en Ă©goĂŻste et en charlatan, a grand renfort de parades et de prestiges, avec les airs de bravoure ordinaire, et le tintamarre des phrases toutes faites sur les droits de lâhomme et le salut public. Elle-mĂȘme, cette puissance centrale, nâa sous la main, pour recevoir ses impulsions, quâun corps social appauvri, inerte et flasque, capable seulement de spasmes intermittents ou de raidissements artificiels sur commande, un organisme privĂ© de ses organes secondaires, simplifiĂ© Ă lâexcĂšs, dâespĂšce infĂ©rieure ou dĂ©gradĂ©e, un peuple qui nâest plus quâune somme arithmĂ©tique dâunitĂ©s dĂ©sagrĂ©gĂ©es et juxtaposĂ©es; bref, une poussiĂšre ou une boue humaine. â A cela conduit lâingĂ©rence de lâĂtat. Il y a des lois dans le monde moral comme dans le monde physique; nous pouvons bien les mĂ©connaĂźtre, mais nous ne pouvons pas les Ă©luder. Elles opĂšrent tantĂŽt pour nous, tantĂŽt contre nous, Ă notre choix, mais toujours de mĂȘme et sans prendre garde Ă nous; câest Ă nous de prendre garde Ă elles; car les deux donnĂ©es quâelles assemblent en un couple sont insĂ©parables sitĂŽt que la premiĂšre apparaĂźt, inĂ©vitablement la seconde suit. Source Hippolyte Taine, Les origines de la France contemporaine. Le RĂ©gime moderne. Tome I Paris Hachette, 1891, cinquiĂšme Ă©dition 1Ăšre Ă©dition 1890. Livre deuxiĂšme Formation et charactĂšres du nouvel Ă©tat ; Chapitre II, pp. 141-154. [1] Macaulayâs Essays, Gladstone on Church and State. â Ce principe, dâune importance capitale et dâune fĂ©conditĂ© extraordinaire, peut ĂȘtre appelĂ© principe des spĂ©cialitĂ©s. Il a dâabord Ă©tĂ© Ă©tabli pour les machines et pour les ouvriers par Adam Smith. Macaulay lâa Ă©tendu, des machines, aux associations humaines. Milne Edwards en a fait lâapplication aux organes dans toute la sĂ©rie animale. Herbert Spencer lâa dĂ©veloppĂ© largement pour les organes physiologiques et pour les associations humaines dans ses Principes de biologie et dans ses Principes de sociologie. Jâai essayĂ© ici de montrer les trois branches parallĂšles de ses consĂ©quences, et, de plus, leur racine commune, qui est une propriĂ©tĂ© constitutive et primordiale, inhĂ©rente Ă tout instrument. [2] Cf. la RĂ©volution, III, livre II, ch. II. On y dĂ©crit les empiĂ©tements de lâĂtat et de leurs consĂ©quences pour lâindividu. Il sâagit ici de leurs consĂ©quences pour les corps. â Lire, sur le mĂȘme sujet, Gladstone on Church and State, par Macaulay, et The Man versus the State, par Herbert Spencer, deux essais oĂč la rigueur du raisonnement et lâabondance des illustrations sont admirables. [3] La RĂ©volution, III, 455. [4] La RĂ©volution, III, 371. [5] La RĂ©volution, III, 462, 447. [6] LâAncien RĂ©gime, 82, 83, 97, 98, 155, 156, 382. [7] La RĂ©volution, I, p. 231 et suivantes. [8] Exemples pour lâAngleterre dans les Essais de Herbert Spencer intitulĂ©s Over legislation et Representative Government. Exemples pour la France dans La libertĂ© du travail, par Charles Dunoyer 1845. Ce dernier ouvrage contient, par anticipation, presque toutes les idĂ©es de Herbert Spencer; il nây manque guĂšre que les illustrations physiologiques. A lire David Hart, French Classical Liberals Anthology
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